La nuit est sur moi,
et le gout du sel, soudain, pique ma langue pour la première fois.
La nuit est sur moi,
Les milliers de soleils illuminent les voix.
La nuit est sur moi,
J’ignore si mes yeux se fermeront sous le noir de soie.
La nuit est sur moi,
Et dans mon corps une prière pour que l’aurore s’y noie.
La nuit est sur moi,
Que je m’y perde, entre les rêves et les souvenirs d’anciennes joies.
La nuit, est sur moi.
Petite faute par contre je crois "se fermerons" (plutôt "se fermeront" ?)