( PARTIE 1 )
Les premières lueurs du soleil firent leurs apparitions . Il courait à travers les plaines étendues . Sa démarche était celle d’un homme à bout de force . Il portait une longue chemise usée en coton de couleur blanche , laquelle été recouverte de taches noir et de marques de transpiration . Il était vêtu d’un caleçon troué qui lui arrivé aux chevilles . Il ne portait pas de chaussures , ses pieds endoloris était couverts de boue et de sang . Son visage était rempli de rides . Il courait avec acharnement et particulièrement vite pour un vieillard. il semblait vouloir échapper à quelque chose . Après avoir gravit une colline surplombant le paysage , il aperçut non loin de lui une route sur laquelle passait un cortège d’une dizaine de chevaux . Sans attendre , il dévala la colline et se précipita vers le convoi qui était constitué de ce qui semblait être des chevaliers , au milieu des quel se trouvait un vieille homme vêtu d’une tunique noir à l’allure noble . À la vue de l’homme se dirigeant vers eux , le chevalier qui ouvrait la marche fit s’arrêter le reste du groupe d’un mouvement de main puis descendit de sa monture . Il posa sa main sur le Pommeau de son épée qui était rangé dans son fourreau , puis avertit l’homme toujours en approche de ne plus s’avancer .
- Halte là ! Plus un pas ! Cria t-il d’un ton autoritaire . Mais l’homme , malgré l’avertissement ne s’arrêta pas . Il semblait ne pas l’entendre .
- Dernier avertissement ! Arrête toi où tu tâtera de ma lame ! L’homme toujours dans sa course , s’effondra au pieds du chevalier avant même que celui-ci n’eut le temps de dégainer .
- Svouplé , aider moi ! Aider moi , se mit à supplié l’homme en gémissant. Sa voix était tellement tremblotante que l’ont pouvait à peine comprendre ses dires . Il continua à supplier le chevalier en s’accrochant à sa jambe .
- Lâche moi misérable ! Je t’interdis de me toucher ! Ne parvenant pas à se débarrasser de l’homme toujours accroché à sa jambe , il dégaina son épée puis se mit à le frapper avec l’extrémité du pommeau . Suite à ces coups reçus , il lâcha prise puis s’étala par terre . Le chevalier saisi son épée puis la pointa sur la gorge de l’homme .
- Ça suffit ! Ranger donc votre épée Loïc ! Hurla l’homme en tunique noir qui descendit de son cheval . Le noble homme , avait une corpulence relativement impressionnante . Il avait des cheveux de couleur noir qui était attaché et lui arrivé au niveau des épaules . Il se dirigea vers l’homme qui gisait par terre . Vous ne voyait pas il est en état de choc !
- Pardonnez moi monseigneur . Répondit le chevalier en s’exécutant. Le noble seigneur se pencha au dessus du vagabond .
- Que vous arrive t’il malheureux ? Que faites vous au milieu de nulle part vêtu de la sorte ? L’homme était en effet en état de choc , il avait les yeux grands ouvert et sa bouche bouger mais aucun bruit n’en emmenait . Il essayer de dire quelque chose .
- Miiii…..miiiiii…miiiraaa ! Mii…miira !
- Qui est Mira ? Demanda le chevalier d’un air hautain .
- Silence bon sang ! Il essaye de dire quelque chose . S’exclama le seigneur qui tentait de comprendre ce que le vagabond essayer de dire . Soudain , le seigneur se fit attraper par le col . Touts les chevaliers dégainèrent leurs armes .
- Seigneur Norié ! Cria sir Loïc en s’approchant de celui-ci . Le seigneur ordonna à ses gardes de s’arrêter . Ceux-ci n’eurent le choix d’obéir . Il approcha son oreille de la bouche du vagabond afin de mieux l’entendre .
- Y….yeux d… de démon ! L…l...La mort ! Sur ces énigmatiques mots , l’homme s’évanouit . Le seigneur Norié se releva puis retourna sur son cheval .
- Sir Loïc , mettez le à l’arrière de votre cheval !
- Monseigneur ? Vous ne voulez tout de même pas l’emmenez à Blancheroche ? S’étonna t-il avant de s’exécuter suite au regard foudroyant que lui lança le seigneur Norié . Le cortège reprit sa route . Durant le trajet pour rejoindre Blancheroche , sir Loïc interpella le seigneur Norié .
- Monseigneur , qu’est ce qu’il a voulu dire par « yeux de démons » ? Vous croyez qu’il a vu quelque chose ?
- Je n’en ais aucune idée Loïc . Peut être a t-il vu quelque chose , où alors peut être est il simplement fou . Lorsqu’il aura dormit dans un lit chaud est suffisamment manger , nous l’interrogerons de nouveau . Après avoir voyagé toute la matinée, le cortège arriva enfin à Blancheroche. face à eux se trouvait une énorme porte faite de marbre longeait d’un grand mur de pierre blanche et entaillé de meurtrières au niveau desquelles y était posté une dizaines de gardes en armure armé de lances. Sur la devanture de la porte y était gravé le blason de la famille Norié. Ce denier représenté un « N » enflammé encerclé d’un dragon à cornes.
- Ouvrez la porte ! Hurla le garde poster sur le mur en voyant le groupe approché. Ces derniers entrèrent . Les chevaliers escortèrent le seigneur Norié jusqu’à son château situé à l’autre bout du bourg. Traversant un village où il ne semblait régner ni famine ni aucune maladie, ce qui se faisait rare dans ce genre d’endroits. Une fois arrivé, le seigneur descendit de sa monture puis pris congé de son escorte . Le domaine Norié était impressionnant. Pas moins de six étages constitué le château.
- Loïc, emmène ce malheureux dans une chambre et fait lui préparer des habits propres. Ordonna le seigneur Norié avant de se précipiter dans la cuisine où il alla dévorer une cuisse de poulet qui se trouvait sur la table. Il n’eut le temps de la finir , qu’une voix l’interpela .
- Si tu continu de t’empiffrée de la sorte bientôt tu ne pourras même plus rentrer dans tes habits ! C’était une voix de femme au son angélique. Il se retourna et rétorqua.
- Malia ! Comment se porte ma femme ?
- Mieux que ta pauvre bedaine apparemment . Lui répondit t-elle d’un air taquin . Elle s’approcha de lui et se jeta dans ses bras . La femme possédait un visage en tout point parfait . Aucune imperfection ni aucun ride . Elle était dotée d’une chevelure blonde qui lui tombée jusqu’au bas du dos . Elle portait une robe acajou orné d’un collier en or .
- Tu va arrêter de critiquer ma bedaine ? Excuse moi de ne pas être aussi parfait que toi ! Le couple se mit à rire . Comment va-t-il ?Demanda t-il en posant sa main sur le ventre de sa femme .
- Tu veux dire comment va-t-elle ? Le mari perdu l’usage de la parole ne sachant quoi répondre . Face à ce silence elle rétorqua avec sarcasme . Alors ? Comment c’est passée ta partie de chasse , au grand Brenan Norié ?
- Eh bien ah vrai dire , plutôt mal . Il prit la main de sa femme , puis marcha le long des couloirs du château . Nous étions sensé chassé le cerf , mais disons que notre partie de chasse a pris une toute autre tournure . Il continua , nous avons pisté un cerf à travers la foret du sud jusqu’à un point d’eau . Une fois arrivée là bas , nous avons découvert une centaines de ces cervidés . Seulement il n’y avait pas que nous qui traquions cette proie . Au moment où nous voulûmes attaquer , un loup de magraël nous devança . Il se précipita sur le groupe qui été en train de s’abreuver . Un vrai carnage . Si tu avais vu ça ! Nous étions avec sir Loïc et les autres à quelques dizaines de mètres , caché derrière des buissons . Je n’en avais encore jamais vue un de ci prés . Et surtout de ci gros .
- Comment était t-il ? Décrit le moi . Le seigneur avait réussi à attirer son attention . Il reprit donc :
- Son pelage était de couleur noir . Il avait d’immenses dents acères et de longue oreilles pointue orienté vers le ciel . Ses yeux était d’un orange tapant . Il était énorme . Il était aisément plus gros qu’une vache . Comme je te disais , il était en train de tout dévorer sur son passage . Aucun cerf ne parvint à en réchapper . Il dévora tout en quelques minutes . Dés qu’il eut fini son repas il s’en alla vers la forêt . Une fois disparut , nous sortîmes de nôtres cachettes . Nous sommes allait voir le tas de carcasses qui gisait près de la rivière . Il ne restait que des os brillants . Nous rebroussâmes donc chemin . Mais une fois au milieu de la foret , un hurlement retentit . Inutile de te dire ce que c’était .
- Par mera ! tu est blessé ?! comment vous en êtes vous sortit ? La curiosité fit place à l’inquiétude sur le visage de Malia qui se mit à serrer le bras du seigneur Modred . Le couple se posa au bord d’une des fenêtres du château qui offrait une vue à couper le souffle sur la mer du nord . Il regarda vers celle ci , puis continua d’un air mélancolique .
- Non , ne t’en fait pas , j’en suis sortit indemne . Mais ce n’est pas le cas de tout le monde . Sur dix-sept hommes , seul douze en sont revenue en un seul morceau . Dont moi et Loïc . Comme je te le disais , le loup nous a attaquer dans la foret. Les hommes m’accompagnant se sont battu avec bravoure et honneur. C’est grâce à Loïc si nous sommes là . C’est bien connu que les loup de magraël craignent le feu . Mais seul lui eut l’idée et le reflexe d’enflammer des branches d’arbres cassée qui se trouvait au sol . Il a enlever la vie à cinq de mes hommes, mais en échange ont lui a laisser un souvenir qu’il n’est pas prêt d’oublier . J’ai moi-même prit soin de lui décocher une flèche en plein dans l’œil droit . Ça blessure à l’œil nous a tout juste laisser le temps de rejoindre nos montures et de déguerpir . Malia le regarda droit dans les yeux . Elle plongea son regard dans ses yeux , et lui dans les siens. À travers ses yeux vert percent , on pouvait apercevoir l’amour et le respect qu’elle éprouver pour lui . J’ai tendance à oublier à quel point ton regard est envoutant . Lui dit-il avant de l’embrasser . Au même moment , sir Loïc fit irruption au prés du couple .
- Monseigneur ! J’ai installer le vagabond comme vous me l’avez demandez , et je lui est fait préparer des habits neufs .
- Puis-je savoir de quel vagabond parle t’on sir Loïc ? Demanda Malia avec étonnement en regardant son mari dans les yeux .
- Pardonnez moi dame Malia , je pensez que vous étiez au courant . Sur le chemin du retour vers Blancheroche , nous sommes tombés sur un vagabond à moitié nu et apeuré . Il parlait de mort et de démon . Ou quelque chose du genre. Oh et monseigneur , j’ai envoyer une équipe de six hommes pour retourner chercher les corps des hommes tombée durant la chasse .
- Bien . Je te remercie Loïc , fait moi savoir lorsqu’ils seront de retour . Tu peux disposer , lui ordonna le seigneur Brenan . Une fois Loïc partit , il s’interrogeât . Ces couloirs sont bien trop calme . Dit moi , où sont passé les enfants ?
- Eh bien Finn s’entraine dans la cour avec son professeur , Nilia est dans sa chambre et pour ce qui est d’Arnor , à vrai dire je l’ignore .
- Et bien on dirait qu’il est temps d’endosser mon rôle de père . Je vais voir comment vont les enfants . Je te retrouve plus tard . Il partit à la rencontre de Nilia . Malia quant à elle resta appuyer sur le rebord de la fenêtre à observer l’horizon de l’océan au bruit des vagues rencontrant les rochers des falaises avoisinante . Brenan se rendit donc devant la chambre de sa fille et toqua à la porte suite à quoi il entra . Nilia à la vue de son père , laissa apparaitre un immense sourire . Elle n’était âgée que de dix-sept ans , mais disposait déjà de l’incroyable beauté de sa mère . Elle avait des cheveux aussi blond et étincelant que la lumière du soleil . Ses yeux était d’un marron ténébreux identique à ceux de son père . Elle portait une robe en soie de couleur blanche sur laquelle était cousue une grande rose de couleur noir . Elle était assise sur son lit .
- Je peux entrer ? demanda Brenan d’une voix calme derrière la porte entrouverte . Nilia acquiesça . Il entra puis prit soin de fermer la porte derrière lui . Il s’assit alors à coter de sa fille qu’il prit dans ses bras en embrassent . Comment tu vas princesse ?
- Je vais bien merci et vous père , comment fut votre partie de chasse ? Demanda t-elle d’une voix innocente .
- Et bien , disons qu’elle ne fut pas de tout repos . Il aperçut sur la table de chevet qui se trouver en face de lui un livre . Dit moi , qu’est ce que tu lis de beau ? Brenan attrapa le livre puis regarda la couverture sur laquelle il était écrit : « faune de Souroune » Je vois que tu te passionne toujours autant pour les animaux exotique . Il regarda sa fille en lui lâchant un sourire .
- Tu crois vraiment que toute les créatures recensé dans ce livre existe vraiment ? Demanda t-elle d’un air toujours plus innocent . Ils y parlent entre autre de serpents pouvant mesurer plus d’une quinzaines de mètres , de taureaux géants , d’aigle écaillée et même de tigre à dents de sabre .
- Et bien , tu sais , Souroune est une contrée exotique qui reste encore très mystérieuse pour nous . Peu d’Altalien la connaissent vraiment .
- Mais toi tu y est allé , n’est ce pas ?
- Oui , mais ce n’était malheureusement pas dans un contexte d’exploration . C’était en tant de guerre , durant la dernière croisade . L’empire Abbarien avait en sa possession nombre de créatures . Eléphant , taureau d’izimra et même des géants . Mais heureusement je n’est croisé ni tigres à dents de sabres ni serpents géant .
- Tu crois qu’un jour je pourrais aller à Souroune ?
- Qui sais ? Pourquoi pas . Et peut être même qu’un jour tu verras un vrai aigle écaillé de tes propres yeux . Les yeux de Nilia s’illuminèrent tant elle était subjugué par cette idée . Mais pour l’instant , vas plutôt t’habiller nous allons bientôt passer à table . Nilia se dirigeât vers son armoire alors que Brenan quitta la pièce . Il sortit de la chambre et alla rejoindre la cour du château . Une fois dans la cour , il aperçut Finn s’entrainer au combat à l’épée avec maitre Lio . Il s’appuya contre la rambarde d’un enclos de cheval avoisinant et observa son fils cadet s’entrainer au maniement de l’épée . Il avait une apparence fine . De court cheveux blond éclatant et des yeux vert percent , il posséder les même que sa mère . Il portait une tenue de combat légère et un gant de couleur noir sur sa main droite avec laquelle il maniait l’épée. Il n’était pas grand , mais se battait avec férocité et acharnement .
- Attention à votre garde monsieur Finn . Les genoux fléchi et le dos toujours droit , n’oubliez pas ! Le professeur au maniement de l’épée , portait quand à lui une chemise noir au col ouvert , et un pantalon de couleur marron . Il était dépourvue de cheveux . Son crane brillait face â la lumière du soleil . C’est quand vous voulez ! Finn saisis le manche de l’épée à deux main , avant de fondre sur son adversaire , qui l’esquiva d’un mouvement de rotation . Le professeur se retrouvant dans le dos de Finn , attaqua à son tour . D’un mouvement fluide , Finn fit passer sa lame derrière sa tête , qui entra en contacte avec celle de son professeur . Il lança à son tour une série de coups à hauteur de la poitrine , que le maitre contra sans difficulté . Il leva de nouveau son épée , qu’il dirigea droit vers la tête de son adversaire . Le maitre esquiva le coup d’un mouvement de tête , suite à quoi il saisissa l’épée de Finn par le manche puis lui fit perdre l’équilibre et pour terminer le désarma . Finn se retrouva par terre sur le dos . Son maitre se pencha au dessus de lui puis l’aida à se relever .
- Toujours essayer d’anticiper les coups de votre adversaire ! Toujours ! Lui chuchota le maitre . Brenan se mit à applaudir en approchant de la zone de duel .
- Je vois que tu as fait des progrès mon grand ! Lui dit son père d’un air fière . Merci maitre Lio , je pense que c’est bon pour aujourd’hui . Le maitre récupéra l’épée qui se trouver à terre , puis salua le seigneur Brenan et son fils d’un mouvement de tête , suite à quoi il tourna les talons et quitta le château .
- Des progrès ? Tu as vu comme il ma vaincu en quelques coups seulement ? Le jeune fils semblé déçu . Comment devenir un grand homme comme toi si je ne suis même pas capable de me défendre . Finn à ces mots , baissa les yeux et fixa le sol . Brenan s’approcha de son fils , mit genoux à terre , attrapa le menton du jeune garçon puis le leva vers le haut . Il le regarda droit dans les yeux .
- Le maniement de l’épée , n’est pas un critère pour être quelqu’un de bien , et encore moins un grand homme . Un homme , un vrai , se défini par sa bravoure , son intelligence et son accomplissement du devoir . Ne l’oublie jamais ! Et puis , à 18 ans , moi non plus je ne maniais pas l’épée comme aujourd’hui . Tu as encore toute la vie devant toi ! À ces mots , le jeune Finn se sentit beaucoup mieux . Il regardait son père avec une tel admiration , qu’il avait les yeux grand ouvert et ne cligna point de l’œil lorsque celui-ci lui parlait . Bon . Sur ce , vas te préparer , nous n’allons pas tarder à passer à table . Le jeune garçon ce dirigea vers la porte d’entrée du château . Oh et dit moi , est ce que tu c’est ou est passer ton frère ? Hurla le seigneur à travers la cour . Finn se retourna puis haussa les épaules l’air de dire , aucune idée , avant de se retourner et de continuer sa marche . Le seigneur Brenan en fit de même . Quelques minutes plus tard , la famille fut réunit autour de la table ou il dinèrent tous ensemble. Ils était assis autour d’une grande table rectangulaire faite de bois de chaine . Au milieu de la table se trouvait deux grosse assiettes de poulet rôtit fumant lesquels était entourait de petits poids . Chacun se servit . Les enfants restèrent silencieux . C’est alors que Malia demanda .
- Alors les enfants… elle eut à peine le temps de commencer sa phrase , qu’un serviteur fit irruption dans la pièce .
- Pardonnez moi seigneur Norié . Sir Loïc ma dit de vous avertir lorsque le vagabond se réveillerais . Et…il s’est réveiller . Le serviteur avait une posture droite et les mains jointes derrière le dos . Le seigneur , retira la serviette qui était poser sur ses jambes et s’essuya les mains avec .
- Bien j’arrive , aller chercher sir Loïc et dite lui de me rejoindre . Dit-il d’un ton pressant . Nilia ainsi que Finn se regardèrent avec étonnement .
- Vous avez ramenez un vagabond au château père ? Demandèrent les enfants en regardant leurs parents . Brenan se leva de sa chaise puis le répondit d’une voix autoritaire.
- C’est une longue histoire . Finissez de manger . D’un air autoritaire il partit voir le malheureux qui avait croiser sa route quelque heures plus tôt . Il arriva devant la chambre . Il ouvrit la porte puis entra . Il y trouva le serviteur venu lui annoncez le réveil de l’inconnu , sir Loïc ainsi qu’un chambellan qui se trouver dans un coin de la pièce . Le seigneur rejoignit Loïc qui se trouver au pied du lit . L’homme était allonger sur le lit , engouffrer dans une couverture . Il semblait toujours aussi apeurer que lorsqu’il croisa la route du seigneur Norié . A-t-il dit quelque chose ? Demanda Brenan . Loïc se tourna vers le seigneur et fit non de la tête . Au même moment , le vieux fou recommença son baragouin .
- Laaa…. La mort ! Il avait la voix enrouée . Le seigneur fit signe au serviteur d’apporter de l’eau à l’homme . Il s’exécuta et aida le vagabond à boire . Brenan s’assis sur le cotée du lit . L’homme une fois désaltérée s’assis avec difficulté .
- Je suis le seigneur Brenan Norié de Blancheroche . Tu est dans mon château . Te rappel tu de moi ? Nous t’avons trouver à moitié mort sur la route . Le vagabond acquiesça . Il avait un regard vide , il fixait le mur qui se trouver droit devant lui . Et bien malheureux , raconte moi . Que c’est t-il passé ? Que faisait tu à peine vêtu au beau milieu de nulle part ? D’où vient tu ? Et que t’est t-il arrivée au visage ? Brenan parlait d’une façon calme et lentement afin de mettre en confiance le vieille homme . L’homme se mit à parler d’une voix tremblotante . Tous autour écoutèrent attentivement .
- Cullwich . J…j…je viens de Cullwich . Le pauvre homme trembler tellement que l’on pouvait entendre ses dents s’entrechoquer . Il continua . Ils sont arrivé de nulle part ! Ils n’ont laisser aucun survivant . C’était un vrai carnage ! Loïc intervint .
- Qui ça « ils » ? Le vieille homme lui jeta un regard glaçant avant de lui répondre .
- Pas qui ! Quoi ! À ces mots le seigneur Brenan devint inquiet . Il intervint à son tour .
- Qu’est ce qui vous à attaquer ? Brenan fixa l’homme avec attention . Il savait qu’il redouterait certainement la réponse du vagabond .
- Les ombres ! Méfier vous des ombres ! Ils ont débarquer sans crier gare . C’était un véritable carnage ! Tous autour était pris de stupeur suite aux révélation du vagabond .
- Comment vous en êtes vous rechaper ? Demanda Brenan l’air curieux .
- J’ais couru ! Couru de toutes mes forces mais…. Il n’eut le temps de finir sa phrase qu’il éclata en sanglot . Miiii…Miira !
- Qui est Mira , demanda Loïc .
- Miiraa…Mira , c’est…. C’était , ma femme . Lorsque l’on s’est enfui , une créature nous pourchasser . Mira me suivait de prés . Mais soudainement j’ai entendu un cris . Je me suis retournée , et mira gisait sur le sol . Du sang couler de ses yeux et….et elle arrêter pas de trembler et de gesticuler dans tout les sens ! Brenan et Loïc le regardèrent avec empathie .
- Je suis désolé ! Brenan avez les yeux tout humide . Ce qui était arrivé au vagabond , l’avez bouleverser . Comment te nomme tu l’ami ? Le vagabond sécha ses larmes , puis répondit avec tristesse .
- Alwin . Loïc ainsi que le seigneur Brenan , se regardèrent de nouveau droit dans les yeux avec stupeur . Loïc interrogea le vieille homme .
- Alwin ? Comme Alwin de la maison Cyndelbald de Cullwich ? L’homme baissa les yeux .
- Il ne reste dorénavant plus rien de la maison Cyndelbald ! Ni de Cullwich ! Juste…juste moi . L’homme semblait détruit . Il se rallongea sur le cotée , s’enroula de nouveau dans la couverture , puis se remit à trembloter . Le seigneur Brenan se releva . Puis rejoignit Loïc au pied du lit .
- Il faut que l’on parle , lui dit-il en chuchotant . veillez au confort de notre hôte jusqu’à son rétablissement , dit-il en s’expriment au serviteur qui se trouver face à lui. Il regarda le vieille homme , qui c’était déjà endormie , puis quitta la pièce avec sir Loïc . Ils se rendirent tout deux dans la cour du château .
- Vous n’envisagez tout de même pas de monter une expédition vers Cullwich monseigneur ? Nous ne savons même pas si ses dires sont vrai . C’est peut être juste un vagabond qui souhaite dormir dans un lit chaud . Je suis sur qu’il ne c’est rien passé à Cullwich . Et puis c’est à une demi journée de marche qui peut savoir ?
- Toi . Loïc regarda le seigneur Brenan avec étonnement . Tu vas monter une équipe de six hommes . Tu iras à Cullwich et me feras un conte rendu de la situation . Loïc ne semblait pas du tout apprécier cette idée . Tu la dit toi même , Cullwich n’est qu’à une demi journée de marche . Et il n’y a rien aux alentours à part Blancheroche . Ce qui signifie , que si quelque chose est vraiment arrivée là-bas , nous ne sommes pas à l’abris qu’il se produise la même chose ici .
- Bien monseigneur ! Dit Loïc en se redressant et en saluant Brenan . Celui-ci partit immédiatement regrouper des hommes en vue de l’expédition .
( PARTIE 2 )
Le soleil se fit de plus en plus discret . La lumière peinait à pénétrer l’épaisse couche de feuillage qui ornée les branches des arbres qui se trouvait tout autour du groupe d’hommes montée à cheval . Sir Loïc menait la marche . Derrière lui , six hommes en armures d’une teinte grise et revêtent les couleurs de la maison Norié le suivait en formation séré . Le groupe était sur la route pour rejoindre Cullwich depuis maintenant une dizaines d’heures . Les hommes commençait à fatiguer . Ils marchèrent encore un moment , jusqu’à tomber sur un panneau en bois qui se trouver sur le bord de la route . Celui-ci indiquer que le village de Cullwich se trouver à trois lieux vers le nord . Ils continuèrent alors . En peu de temps , ils arrivèrent à la sortit de la foret . Ils purent enfin apercevoir le ciel. Le groupe s’impatientait à l’idée de sentir de nouveau le soleil sur leur visages . Déçut furent il , lorsqu’il découvrirent que le ciel bleu avait prit une teinte orangée et que le soleil disparaissait peu à peu à l’horizon . Ils continuèrent alors d’avancer sur quelque centaines de mètres . Ils aperçurent enfin le village . Celui-ci se trouver en sortit de forêt . Il s’étendait de cette dernière , jusqu’à un lac qui se trouver quelques mètres plus loin . Le village était protéger par de petit rempart . Sir Loïc l’observât , mais ne vit aucun garde poster dessus . Il tapota alors les flancs de sa monture pour avancer et fit signe de la tête au reste du groupe qui le suivirent . Ils se mirent à longer le mur enfin d’atteindre le portail d’entrer . Durant leurs marche , ils ne virent ni entendirent quoi que ce soit . Cela était étrange . Le village de Cullwich était connu pour sa grande population . L’un des chevaliers faisant partie du groupe , fit accélérer son cheval , dépassa deux hommes , et se positionna à hauteur de Loïc . Il était d’un âge relativement avancer . À tel point que l’intégralité de sa chevelure était d’une couleur blanchâtre . Il portait une armure semblable à ses confrères à l’exception d’une paire de gants en cuire . Il interpela alors Loïc d’un air inquiet .
- Loïc ! Regard ! Aucun garde ! La dernière fois que je suis venu ici , il y en avait un vingtaine ne serait-ce que sur la partie Est du mur . C’est pas bon , je ne le sent pas ! Loïc se tourna vers son interlocuteur .
- Je sais . Cela aussi me parait étrange ! Reste sur tes gardes Anthone ! Lui répondit-il en le regardant d’un air tout aussi inquiet. Le groupe continua d’avancer jusqu’à finalement arriver au portail d’entrer . Ce dernier était entrouvert. Loïc et Anthone se regardèrent . On pouvait lire dans leurs yeux une crainte grandissante . Anthone descendit alors de sa monture . Il attrapa la porte par le cotée , puis tira la vers lui avec difficulté . Elle semblait pesait une tonne . Il parvint tout de même à l’ouvrir. Tout le groupe descendit de leur chevaux . Ils attrapèrent leurs montures par les reines puis les guidèrent en franchissant le portail et en pénétrant dans le village . Il ne virent personne dans les rues qui était plongé dans une sorte de brume aux allures sinistre . Il y régnait un silence glaçant . Ils continuèrent d’avancer prudemment . Soudain , une silhouette imparfaite vint se dessiner au bout de la rue dans la quel ils se trouvèrent . La silhouette , avait une forme indistincte . On aurait dit la forme d’une femme . Les chevaliers , au vue de cette étrange femme se regardèrent entre eux sans dire un seul mot . Personne ne voulait le dire , mais tout le monde savait que ce qui les observait de l’autre bout de la rue n’était en rien une femme ordinaire. D’un pas hésitant , Loïc s’avança légèrement . Respira un grand coup et engagea .
- Madame ? Ce à quoi il n’y eut de réponse . Est-ce que vous m’entendez ? Tous se sentirent comme oppresser par l’atmosphère . Anthone , s’approcha délicatement de Loïc .
- Loïc ! Loïc ! On devrait partir ! Lui dit-il d’une voix tremblotante . Tu vois bien qu’il y a un truc qui cloche ici bordel ! Loïc ne répondit pas . Il était bien trop intrigué par la silhouette qui les observer sans dire le moindre mot . Mais soudainement un sifflement aigue se fit entendre . Le bruit provenait d’une ruelle se trouvant sur la gauche du groupe de chevaliers qui aussitôt se tourna vers celle-ci . Ils observèrent l’endroit d’où provenait le son avec concentration . Comme essayant de voir à travers l’épaisse couche de brouillard les entourant qui s était intensifier . Mais ils ne purent rien apercevoir . La couleur orangée du ciel ainsi que les dernière lueurs du soleil disparurent afin de laisser place au ciel noir et étoilée de la nuit. Il se retournèrent tous en direction de la silhouette de femme qui les observait . Ils déguénèrent alors leurs armes d’un mouvement fluide et coordonnée lorsqu’avec stupeur et effroi , il se rendirent conte que la silhouette qui se trouvée quelques secondes plus tôt à l’autre bout de la rue , se trouver dorénavant à peine à un mètres d’eux . Loïc ainsi que Anthone , reculèrent d’un pas . Les chevaux se mirent à paniquer . Tout à coup , la silhouette se mit à se rapprocher . Elle avançait doucement . Sa démarche faisait froid dans le dos . Son dos était courbée vers l’avant . Ses bras se balançait au rythme de sa marche . Elle trainait sa jambe droite qui semblé cassé au bruit de grincement qu’elle faisait . Les chevaliers se mirent en position de combat . Ils attrapèrent leurs épée à deux mains , puis les positionnèrent à hauteur de leurs épaules . Ils était prêt à affronter la créature . La silhouette se rapprocha à suffisante distance , puis se jeta sur sir Loïc qui d’un seul coup d’épée la trancha en deux . La silhouette disparu en fumée en fonçant sur un jeune chevalier du groupe . Tous se regardèrent de nouveaux , mais cette fois ci avec étonnement . Tous restèrent immobile et sur leurs gardes . Le jeune chevalier , se trouvant à l’arrière du groupe , lâcha soudain son épée qui cogna le sol . Il se mit à faire d’étrange bruit . Il semblait peinée à respirer . Tous se tournèrent vers lui . Ses yeux se mirent à tourner . Aussitôt il s’effondra au sol . Il se vit prendre de violente convulsion . De la bave sortit de sa bouche et du sang coula de ses yeux . Tous autour le regardèrent puis firent deux pas en arrière . Personne n’osa lui venir en aide . Tout le monde était effrayer par ce à quoi ils assister . D’un coup , sa nuque craqua . C’est alors qu’il s’immobilisa . Sir Anthone s’approcha du jeune homme . Il s’agenouilla , puis se pencha au dessus de lui . Il prit son pouls , regarda Loïc puis fit non de la tête . Le corps du jeune chevalier gisait sans vie , à même le sol .
- On dégage ! Tout de suite ! Ordonna précipitamment sir Loïc au reste du groupe . Il n’eut besoin de le répéter. Tous se dirigèrent vers les chevaux . Mais de la même façon , toutes les montures s’écroulèrent une à une en poussant des hennissement . Elles connurent le même triste de sort que le jeune homme . À la vue de se spectacle horrifique , tous furent prit de peur et de panique . L’un des soldats demanda à sir Loïc .
- Monsieur ! On fait quoi maintenant ? L’homme était en panique . Loïc n’eut le temps de répondre , qu’un deuxième soldat interpela le reste du groupe .
- Regardez ! Dit-il d’une voix encore plus apeuré et en pointant du doigt le bout de la rue d’où l’étrange silhouette avait fait son apparition . C’est avec toujours plus de stupeur , que le groupe découvrit une silhouette identique à la précédente les observée . À la différence que celle-ci n’était pas seul . Une dizaines d’autres firent leur apparition dans la rue . Le groupe , battit alors en retraite en direction de l’entrée du village . Les silhouettes lugubres se mirent à courir en direction des chevaliers qui en firent aussitôt de même . Durant leurs courses à travers le village , les silhouettes se firent de plus en plus nombreuses . Le groupe se retrouva vite face à un cul de sac . Confronté aux créatures se retrouvent face à eux , ils n’eurent de choix que de les affronter . Ils se regardèrent tous entre eux de nouveaux . Cette fois ci dans leurs regard , la peur et la panique avait fait place à la rage . Ils menèrent alors une charge dirigé par Loïc . Ils affrontèrent les créatures avec une bravoure sans précèdent . Les silhouette se firent trancher par dizaines . Mais des chevalier tombèrent aussi . Apres un combat acharné les guerriers en armures se retrouvèrent dorénavant au nombre de quatre . Loïc se rendit conte que leurs efforts était vain après s’être aperçut que toutes les créatures une fois vaincu , réapparaissait comme par magie . Soudain ils aperçurent une taverne qui se trouver non loin d’eux . Durant leurs course pour la rejoindre , le quatrième chevalier tomba à son tour . Il ne resta alors plus Loïc , Anthone ainsi qu’un autre soldat . Une fois les trois hommes à l’intérieur , ils se précipitèrent de fermer la porte qu’ils bloquèrent à l’aide d’une grande table se trouvant au milieu de la pièce . Les créatures se mirent à frapper violemment contre la porte . Les trois survivants était exténuer . Ils s’assirent alors par terre .
- Vous croyez qu’elle va tenir ? Demanda le soldat qui était légèrement en surpoids . Il transpirait du visage et arriver à peine à parler . Les trois protagonistes se regardèrent . Ils connaissait tout les trois la réponse . Ils observèrent la pièce . Les tables était remplie d’assiettes qui elles mêmes était remplie de nourriture qui avait commencer à pourrir , bien que cela ne semblait pas déranger les rats . Les mouches grouillait par dizaines . L’odeur pestilentiel , avait envahie toute la taverne . Le bar quant à lui était saccagé . Des bouteilles et choppes de bières en tout genre jonchait le planchait . Les torches et les lanternes était encore allumé au quatre coins de la pièce . Les créatures quant à elles , avait envahie les rues . Elles avait encercler le bâtiment . Les trois chevalier , eux , restèrent assis , adossait contre la porte d’entrer pendant de longues heures à écouter les sifflements stridents qu’émettait les monstres dehors . Soudain les sifflements s’arrêtèrent . Anthone se leva alors , récupéra une lanterne qu’il décrocha du mur et s’approcha d’une fenêtre puis essaya d’observer à travers elle ce qui se passait dans la rue . Il aperçut une forme étrange sous le bas de la fenêtre . Il approcha encore afin de mieux la voir . Aussitôt celle-ci défonça la fenêtre puis s’attaqua à Anthone qui d’un reflexe lâcha la lanterne sur la créature . Cette dernière s’enflamma avant de disparaitre en cendre à travers des gémissements . Ils venait de découvrir ce qui leur permettrait de s’échapper de Cullwich. Le feu sembler les tuer . Ils ne fallut pas beaucoup de temps pour qu’ils mettent au point un plan . Loïc approcha d’ Anthone puis l’aida à se relever .
- Tu n’a rien ? Ce à quoi Anthone lui fit non de la tête . Le feu ! Ils semble craindre le feu ! Loïc se dirigea avec hâte vers le bar .
- Que faites vous monsieur ? Demanda le soldat rester en retrait .
- Ils craigne le feu ! Et il se trouve que nous ayons autour de nous des torches des chiffons et de l’alcool ! Le soldat ainsi qu’Anthone , rejoignirent Loïc Au bar . Loïc se mit à récupérer une bouteille , déchira un chiffon , puis le laissa tremper dans une bouteille de vodka en prenant soin d’en faire dépasser un bout de la bouteille . Les deux hommes le regardèrent d’un air curieux . Ils ne semblait pas comprendre ce qu’il faisait . Anthone lui demanda alors .
- Mais qu’est-ce que tu fait ? Ce à quoi Loïc répondit d’une voix calme .
- Prenez une bouteille d’alcool un chiffon et faites comme moi ! On va bruler à l’aide des torches l’embout du chiffon qui dépasse de la bouteille . Il s’enflammeras et bruleras tout l’alcool de la bouteille .
- Et après ?
- Et après tu lance la bouteille sur ces saloperies , et boum ! Enfin… j’espère . Les deux hommes n’était par convaincu par le plan de Loïc . Mais ils n’avait pas le choix . Il fallait tenter quelque chose . Ils s’exécutèrent alors . Durant la confection de leur plan , Anthone engagea .
- Ta intérêt à ce que ça marche ! On les connait tes plans de génie ! Loïc le regarda du coin de l’œil . Oui oui vas-y , tu peux me zyeuter tu sais ? J’oublierais jamais le plan de géni que ta eut à Abbarat ! Continua t-il avec sarcasme . Le soldat s’interrogea en observant Anthone .
- Abbarat ? Vous vous connaissiez déjà pendant les croisades ? Anthone eut un rire narquois .
- Un peut que je connaissais ce merdeux ! On était en plein centre ville d’Abbarat . C’était le début de la deuxième croisade . On était de garde dans le port de la ville . Et d un seul coup , des centaines de navires de guerre Abbarien ont débarquer. Notre armée se faisait déchiqueter par leurs puissance de feu démesuré ! C’est alors , que Monsieur sir Loïc ici présent , eut l’idée de génie de faire explosait la plus grande tour de la ville qui longeait le port , avec de la poudre à canon .
- Et ? Ça à marcher ? Demanda le soldat .
- Un peut que ça a marcher ! La tour s’est effondré comme un château de carte et a balayer la moitié de la flotte Abbarienne qui se vit obliger de prendre la fuite . Il a détruit la moitié du port mais une bonne vingtaines de leurs navires ! Loïc ne dit pas un mot tant il était concentrer par ce qu’il faisait . Le soldat regarda Loïc avec un profond respect avant de lui aussi se remettre à sa confection .
- Quelques minutes plus tard , les créatures se trouvant dehors , furent attitrer par le grincement de la porte de la taverne qui s’ouvrit . Elles s’attendait à voir sortir les hommes qui y avait trouver refuge . Mais personne n’en sortit . Les silhouettes se rapprochèrent de la taverne et entrèrent . La pièce se fit submerger de ces créatures . Soudain , un grincement attira l’intention de l’une d’elles . Le bruit provenait d’au dessus . Au moment où elle leva ce qui lui servait de tête , elle aperçut Loïc ainsi qu’Anthone qui s’était réfugier dans la charpente du toit . Au même moment , ils lâchèrent tout les deux à deux endroits différents de la pièce leurs bouteilles de vodka , des quel un chiffon bruler. Lorsque celles-ci se fracassèrent par terre , elles se brisèrent . Ce qui laissa l’alcool entrer en contact avec le chiffon enflammée qui aussitôt fit s’embraser le plancher . Les créatures brulèrent par dizaines . Les deux hommes ne perdirent pas une seul secondes , et s’empressèrent de rejoindre le sol . Au même moment , une armoire qui se trouvait à coter de la porte d’entrer s’ouvrit . C’était le soldat bien trop lourd pour pouvoir escalader le plafond . Tout les trois sortir en précipitation de la taverne qui partait en fumée . Ils se mirent alors à courir vers la sortie du village . Dans leurs course ils aperçut d’autres silhouettes qui firent leurs apparitions . Les trois hommes courait avec acharnement vers le portail de l’entrée qui se rapprochait de plus en plus . Mais soudain , une créatures sortit de nulle part et traversa le soldat qui se trouver quelques mètres derrières sans crier gare . Il s’effondra et fut prit de convulsion . Les deux hommes restant savait qu’ils ne pouvait rien faire . Ils continuèrent alors leurs course . Loïc étant plus jeune et plus athlétique que Anthone , avait au moins plusieurs mètres d’avances sur lui . C’est pourquoi il arriva premier au portail .
- Allez Anthone ! Tu peux le faire ! Cria Loïc dans l’espoir de motiver son vieil ami. Le Vieille homme était à bout de souffle . Les créatures qui le rattraper de plus en plus , était dorénavant à quelques mètres derrière lui . Il se rapprochait de plus en plus du portail . Et les créatures avec . Il d’eut faire un choix . Laisser les créatures sortir du village , où les y enfermer . Il savait que Anthone n’y parviendrait pas . Il Attrapa donc la porte à deux mains puis regarda d’un air coupable Anthone , qui à ce moment là , savait ce que Loïc avait en tête .
- Pardonne moi mon ami ! Marmonna Loïc entre ses dents avant de fermer le portail au nez de Anthone qui se fit esseuler de toute part par les créatures . On pouvait voir la culpabilité et la tristesse que ressentait Loïc sur son visage . Il lâcha des larmes pour son ami qui derrière le portail hurlait son nom afin qu’il viennent l’aider . Après ce coup dur , Loïc se mit aussitôt en route pour Blancheroche .
( PARTIE 3 )
Lorsqu’il arriva au portes de blanche roche , le soleil venait à peine d’atteindre son zénith . Il était épuisait . Il avait marché toute la matinée . À la vue de sir Loïc , les soldats postait sur les remparts du bourg ouvrirent les portes . Ce dernier les franchit avant de s’écrouler de fatigue . Un soldat qui se trouver non loin , se précipita vers lui pour l’aider .
- Monsieur ? Monsieur vous allez bien ? Demanda le soldat apeuré . Il aida Loïc à se relever qui aussitôt s’écroula de nouveau et perdit connaissance . À son réveil , il se trouvait dans un lit . Il n’eut le temps de reprendre ses esprits qu’un chambellan entra dans la chambre . Celui-ci aperçut alors sir Loïc rouler hors du lit et atterrir avec fracas à même le sol . Il se précipita vers ce dernier afin de l’aider à se relever .
- Vous allez bien ? Lui dit le chambellan avec inquiétude . Loïc hocha la tête , puis avec l’aide du serviteur s’assit sur le bord du lit .
- Brenan ! Où est le seigneur Brenan ? Demanda t-il d’un air pressant .
- Le seigneur Brenan se trouvent au lac blanc messire . Il ma quémander de lui faire savoir lorsque vous recouvreriez connaissance . À ces mots , Loïc se leva soudainement . Il récupéra son habillement qui se trouver suspendu sur la bar du lit , puis se précipita vers la porte . Il sortit de la chambre à toute vitesse et se dirigea vers le lac blanc . Le lac se trouvait à quelques mètres du château . Lorsqu’il y arriva , il trouva Brenan ainsi que Malia, qui tout deux , était assis sur un rocher au bord de l’eau .
- Monseigneur ! Monseigneur ! Dit-il , l’air épuiser en interrompant le couple qui semblait profiter d’un moment de solitude . Brenan se tourna alors vers Loïc . Il descendit du rocher , tout en faisant attention de ne pas bousculer la femme en ceinte , puis s’approcha .
- Loïc ? Que se passe t-il ? Je te croyait encore endormie ? Loïc reprit son souffle puis continua .
- Le vieil homme . Cyndelbald . Il avait raison . Cullwich , il ne reste plus rien. Loïc , affaiblie , tomba à genoux. Brenan le prit alors par la taille puis l’aida à s’assoir sur le rocher . Il posa sa main sur son épaule .
- Loïc , mon ami , que c’est il passé ? Et qu’est il advenue des hommes qui t’accompagné ? Lui demanda Brenan d’une voix calme mais inquiète . Loïc regarda le seigneur Norié dans les yeux .
- Mort . Tous mort . Il disait vrai !
- Doucement ! Respire , et dit moi ce qui c’est passé ? Sir Loïc reprit .
- Nous sommes arrivés à Cullwich dans la soirée . À notre arrivé nous n’avons aperçut aucun garde . Tout en étant sur nos gardes , nous sommes alors rentrer dans le village. Au début , tout semblait calme . Jusqu’à ce qu’elle arrive . Sa voix se mit à trembloter .
- Elle ? Demanda Malia qui écoutait attentivement les dires du chevalier.
- La mort ! Elle était seul . Puis soudain d’autres sont apparues ! Elles nous ont attaquer . Elles était trop nombreuses , elles nous on vite surpasser en nombre . Nous avons trouver refuge dans une taverne . C’est là que nous avons découvert qu’elles craignait le feu . Nous avons mit feu au bâtiment , ce qui nous a permis de nous échapper ! Mais… dans notre course , tous se sont fait attraper par ces choses ! Seul moi , en ais réchapper ! Malia ainsi que Brenan , s’échangèrent un regard rempli de stupeur . Suite à quoi , ce dernier demanda .
- À quoi ressembler ces « choses » Loïc ?
- Elles …. elles semblait êtres faites d’ombre , elles ne semblait être que des silhouettes aux allures humaines! Je jure n’avoir jamais vue de toute ma vie , pareil horreur ! J ’ai d’eut en découper une vingtaines mais elles ont toutes réapparu . Exceptée celles que l’on a brulé . Celles-ci semblait s’embraser.
- Je vois ! Allez viens Loïc , tu a besoin de manger . Malia , envoie un corbeau à fort Exitium ! Dit Brenan d’une voix empresser . Décrit leurs la situation à Cullwich . Il aida Loïc à se relever puis marqua un arrêt . Dit leurs que nous avons besoins d’un Nemrod , et au plus vite ! Il se dirigea ensuite vers les cuisines tout en portant à moitié Loïc et en demandant l’aide d’un serviteur qu’il croisa.
**********
( PARTIE 1 )
Le silence régnait en maitre . Le bruit du vent soufflant sur les feuilles des arbres qui entourait la cour était le seul son qui se faisait entendre . Au milieu de cette dernière , tout les initiés y était réuni. Ils était alignés en deux rangés. Une douzaines de jeunes recrues aspirant à intégrer les rangs des Nemrods . Ces guerriers d’élite formé depuis l’enfance à l’art du combat et de la chasse . Dans un monde où l’homme se trouvent en bas de l’échelle alimentaire , derrière les vampires , les loups-garou et un tas d’autre créatures féroce et sanguinaire , les Nemrods se trouvent souvent être le dernier rempart entre l’ordre et le chaos . En effet , l’ordre des Nemrods a pour but de chasser et éradiquer toutes créatures menaçant les royaumes des hommes . Afin de mener à bien cette mission, ces guerriers d’élite sont pousser jusqu’aux extrêmes limites de leurs corps , mais aussi de leurs esprits dans des entrainements inhumain afin d’en faire des machines à tuer.
Tous portait la même tenue . Une sorte de tunique légère de couleur noir à manches courte, rappelant les tenues des moines . Face aux jeunes initiés, il y avait un homme . Ce dernier portait également une tunique de même couleur . Seulement, la sienne était légèrement différente. Contrairement aux jeunes recrues elle ne s’arrêter pas aux genoux , mais lui arriver jusqu’aux chevilles . Au niveau de ses épaules, une fourrure sombre y était cousu. Il portait un pantalon en cuir, lequel était fourrer dans ses bottes. Mais ce qui attirait le plus l’attention lorsqu’on le regarder était son long glaive qui était fixé à son dos . Il avait une posture droite et rigide , les bras croisée . Sur son visage , on pouvait aisément apercevoir qu’il eut du vécu . Une profonde balafre traverser son visage . Cette dernière partait du coin droit de sa mâchoire jusqu’en haut de son front, duquel commençait une longue chevelure bouclé de couleur rousse qui lui retombé sur les épaules. Après un long moment de silence à observer attentivement , il s’exprima alors à l’assemblée , avec une voix rauque et portante .
- Initiés ! Aujourd’hui je vais vous tester sur votre volonté . À vos pieds se trouvent des poids . Quand j’en donnerais l’ordre , vous saisirais ces poids et les maintiendrais en équilibre le long de votre corps , les bras tendue face à vous. Il n’eut le temps de continuer , qu’un jeune homme l’interpela .
- Euh.. monsieur ? Vous voulez dire , sur notre force ? Le jeune homme s’exprimait d’une voix clair et calme. L’homme lui jeta un regard froid , puis se dirigea vers lui .
- Toi ! Sort du rang et présente toi ! Demanda t-il d’un ton agressif. Le jeune se présenta .
- Miltred. Miltred Langard monsieur . Je viens d..
- Quesque j’en est à foutre de ta provenance « Miltred Langer » ?! La jeune recrue ne semblait pas terrifier de l’homme pourtant à la stature impressionnante .
- C’est Langard monsieur . Le jeune homme avait le regard diriger droit vers l’horizon se terminant dans les mur de la cour . l’homme se trouvant devant lui le dévisager du regard .
- Eh bien Miltred « Langard » , sache que la force , n’est ni plus ni moins que la manifestation de la volonté . Un homme sans volonté , est un homme faible . Dit moi « Miltred Langard » , est tu un homme faible ? Il fixa alors le jeune homme dans les yeux sans dire un mot de plus .
- Non monsieur . Répondit-il avec un sourire narquois en coin de bouche .
- J’ais pas entendu ! Est-tu un homme faible ? Se mit à hurler l’homme, en rapprochant son visage de celui de l’initiés. Ce dernier, cessa alors de fixait le mur face à lui , puis dirigea son regard vers son locuteur. C’est alors qu’il se rendit compte qu’il était aveugle d’un œil . En effet l’œil droit de l’homme était opaque à tel point qu’on l’apercevait à peine .
- Non monsieur ! Répondit t-il en haussant le ton .
- Bien ! Alors bouge ton cul , retourne dans le rang et soulève moi ces putain de poids avant que je te casse en deux pour avoir oser m’interrompre . L’homme hurler tellement fort qu’on put certainement l’entendre à l’autre bout de l’océan qui bordait le château . L’initié, s’exécuta en silence en ravalant son sourire . Alors , est-ce-que quelqu’un d’autre à envie dme les briser ? Personne ne répondit . Allez, soulevez moi ces poids ! Tous les saisirent. Certains plus facilement que d’autres. Parmi la douzaines d’initiés, trois ne parvinrent pas à soulever les poids .
- Toi , toi et toi ! S’écria l’homme en pointant du doigts les concernés . Vous dégagez ! Tout de suite ! Pris de panique , les trois jeune initiés s’exécutèrent sans dire un seul mot. Il quittèrent alors la cour . Ils venait de rater leur chance de rejoindre l’ordre . Qui d’autre veut les rejoindre ? Si vous n’êtes pas capable de soulever des fichus poids, comment voulez vous vous frotter à un golem où à une ghoule ? De la volonté découle la force ! N’oubliez jamais ! Les critères de sélection de l’ordre été très précis et pointilleux. D’années en années, devenir un Nemrod demandait de plus en plus d’effort. Certains passait leur vie toute entière à regretter pareil échec. Durant de longues et douloureuse minutes , les jeunes initiés firent preuve d’une incroyable volonté . Tous avait l’impression que leurs bras pesait une tonne . Pendant ce temps, l’homme à la balafre passait dans les rangs . Faisant attention aux moindre détails. Il s’arrêta devant le jeune Miltred . Celui-ci peinait à continuer l’effort physique démesurer pour sa petite stature. L’homme le regardait droit dans les yeux , lui lançant de nouveaux ce regard froid . Le jeune homme n’en pouvait plus . Il avait viré au rouge . Ses veines temporale se faisait voir à travers sa peau . Il transpirer à un tel point , qu’il brillait.
- Tu c’est Miltrad , tu peux t’arrêter là. Tu vas exploser si tu continu comme ça . Et entre nous , sa me ferait vraiment chier ! Tu c’est, c’est super difficile à nettoyer la cervelle éclater sur du pavé .
- C…c’est Mil….Miltred ! Il semblait agoniser . Mais trouver la force de répondre à l’homme en le fixant à son tour dans les yeux . Malgré l’effort dantesque qu’il faisait , le jeune garçon gardait une expression facial des plus stoïque. L’homme était impressionner . Il était le plus chétifs de tout les initiés, mais était paradoxalement celui qui semblait être le plus empli de volonté. Le regard du jeune Miltred fit attirer par l’écusson que l’homme affichait sur la partie gauche de son torse. Ce dernier était un triangle renverser, dans lequel y était représenter une épée à lame noir pointant vers le bas et entourée d’un opilath ; sorte de serpent géant aux proportion gigantesque , avalant le pommeau. Au même moment, une femme vêtue d’un long manteau noir fit irruption dans la cour d’entrainement . Elle portait également le même écusson . Celle-ci marchait à vive allure en direction de l’homme , qui à la vue de cette dernière laissa le jeune Miltred en paix. Elle s’approcha de lui , puis le salua .
- Nogart. Le conseil te réclame. Dit -elle d’une voix calme et douce .
- Bien. J’irais les voir dés que l’entrainement seras fini. Répondit-il d’une voix toujours aussi rauque en se frottant la cicatrice et en regardant la femme dans les yeux qui étrangement lui ressemblait quelque peut. Elle le reprit alors.
- Tout de suite ! Le conseil a insisté la dessus. L’homme répondant au nom de Nogart, se tourna alors vers les initiés .
- Repos ! Vous pouvez lâcher. Tous dans vos quartier ! Un autre maître viendra prendre la relève. Tous lâchèrent immédiatement les poids. Le bruit de ces dernier heurtant le sol était assourdissant. Tous s’exécutèrent. Ils regagnèrent leurs quartiers en se tenant les bras et en gémissant de douleur sous les yeux du maître Nogart. Une fois toutes les recrues ayant quitter la cour, il se tourna de nouveau vers la femme en souriant.
- Comment tu vas chérie ? Sa voix avait complètement changer. Elle était passer d’agressive et terrifiante, à douce et calme .
- Père, je t’ais déjà dit de ne pas m’appeler comme ça. La femme semblait gêner. Elle, qui en arrivant avait un teint pâle se mit à rougir légèrement.
- Excuse moi Kara. C’est plus fort que moi. Mais pourtant t’aimer bien quand t’étais petite et qu’….. Elle ne le laissa pas finir sa phrase.
- Père sa suffit ! Chuchota t-elle en observant du coin de l’œil un groupe de personnes traverser le préau à proximité. Cesse donc de me traiter comme une enfant ! Je suis une Nemrod, pas ta « chérie » !
- Pourquoi serait-ce impossible d’être les deux ? Dit-il en fronçant les sourcils et en riant à haute voix. Enfin bon, plus sérieusement, que me veulent-ils ? Une mission ?
- Je ne sais pas, je ne viens que t’apporter ce message. Maintenant vas-y. Tu sais comment ils sont, le conseil à bien des vertus, mais la patience n’en fait guère parti. Et, si jamais c’est une mission, alors fait attention à toi ! Nogart la salut alors de la tête puis se dirigea vers la porte d’entrer de la cour.
- Je t’aime moi aussi. Dit-il d’un air sarcastique entre ses dents avant de disparaitre. Il Prit alors un couloir recouvert d’une tapisserie brune longeait d’un tas de lustre en or et de pièces d’armures, pour enfin se retrouver aux pied d’un escalier argenté. Il l’emprunta. L’escalier était quant à lui longeait non pas de lustres, mais de portrait. Une centaines de portraits représentant chaque dirigeant de l’ordre depuis sa création. Une fois arrivé au sommet de cet interminable ascension, il se retrouva face à une double porte faite en chêne massif. Il prit un instant, inspira un grand coup, puis entra dans la pièce. Cette dernière était recouverte d’un carrelage brillant aux reflet noir. Elle était entourait de trophée de chasse. Tête murale, cadavre empaillée, la collection était impressionnante. À l’autre bout de la pièce, face à lui, se trouvait quatre personnes assise derrière un long bureau, placé sur une sorte d’estrade en surélévation. Sur la devanture du bureau, fait de marbre, y était sculpter en relief l’écusson de l’ordre.
- Approchez maître Nogart. Dit la seul femme faisant partit du conseil d’une voix autoritaire. Il avança, suivant un long tapis rouge bordé de filament blanc. Il arriva alors au pied de l’estrade, leva la tête puis salua le conseil d’un mouvement de tête. Derrière ces deniers, le mur était recouvert de vitraux multicolore, ce qui propager sur le sol de toute la pièce des lueurs digne d’un arc-en-ciel. La lumière lui arrivée en plein dans les yeux ce qui le forcer à les plisser.
- Y parait que vous m’avez demander ? Demanda t-il regardant les membres du conseil un à un.
- Exact maître Nogart. Répondit un vieillard aux crane rasé et à la barbe l’air infini se trouvant à gauche du bureau. Nous avons une mission pour vous.
- Quel genre de mission ?
- Le genre de mission qui requiert vos compétences. Répondit immédiatement la femme se trouvant quant à elle à l’autre extrémité du bureau.
- Ouah, j’en suis flatté ! Répondit Nogart d’un air sarcastique. La femme reprit.
- Ce matin, un corbeau nous est parvenu de Blancheroche. La dame des lieux, dame Norié, relate des faits plutôt inquiétant étant survenue dans un village voisin, Cullwich. Tenais, vous serez plus à même de comprendre la situation en lisant ceci. Elle lui tendit le message, qu’il récupéra. Dans ce dernier, la dame Norié, dépeignait une situation plutôt inquiétante :
« Je suis dame Malia Norié, épouse de Brenan Norié, régent de Blancheroche. Je vous fait parvenir ce message suite à de récent événements tragique ayant eut lieu au village voisin de Cullwich. En effet il semblerait que des créatures s’y soit établi, causant au passage la mort de tout les habitants s’y trouvant. Je vous serais gré d’envoyer quelqu’un au plus vite afin de régler le problème urgent au quel nous faisons face. »
- Des « créatures » hein ? C’est tout ce qu’on sais sur la situation à Cullwich ? Demanda Nogart après avoir lu attentivement la lettre de détresse.
- Oui, répondit le vieille homme. De surcroit nous avions un Nemrod à proximité des lieux. Mais cela fait maintenant six jours qu’il aurait dû rentrer à fort Exitium. Il a surement dû entendre parler de cette histoire, et à voulu allez voir. Mais au vu des faits, il est aisé d’en conclure qu’il n’en est pas ressorti vivant. Il se fait tard. Reposer vous, car demain une longue route vous attend pour Blancheroche. Au passage, si possible, essayer de savoir ce qui est advenu du Nemrod. Nogart salua le conseil de la tête, puis se retira de la salle sans dire un mot.
(PARTIE 2 )
Il se faisait tard. Le soleil disparaissait peu à peu derrière les montagnes dominant la région. Cela faisait maintenant trois jours que Nogart était sur la route. Il était extenué. Sa monture montrait elle aussi des signes de fatigue. Il était accompagné d’un autre nemrod, légèrement plus jeune que lui. Tout deux se frayait un chemin à travers un gigantesque champ de tournesol s’étendent à perte de vue. La traversé de ce dernier semblait interminable.
- Tu est sur qu’on a pas rater Blancheroche ? Je t’avais dit qu’on aurais dû suivre la grand route et pas coupé à travers ces fichus champs ! Et si on s’arrêter là pour aujourd’hui ? J’en peut plus, je suis mort !
- Ca fait trois fois que tu me dit ça ! On va dans la bonne direction je te dit ! On s’arrêtera quand j’aurais dit qu’on s’arrêtera Kalim ! Répondit Nogart avec lassitude. Ils continuèrent à avancer, jusqu’à enfin apercevoir une route. Cette dernière était bordait d’un lac sur lequel se refléter la lune qui venait juste de faire son apparition. Les deux hommes mirent alors pied à terre, attrapèrent les rênes de leur montures, puis les guidèrent aux abords du point d’eau afin de les abreuver. Nogart en profita pour remplir sa gourde qui s’était vidé quelques heures auparavant. Kalim quant à lui s’abreuva à même la source après avoir retirer sa capuche qui jusqu’à présent caché son visage. Ce dernier avait le crane totalement rasé et portait une barbe en bouc. Il se pencha pour boire, et c’est alors que Nogart aperçut un pendentif autour du cou de ce dernier. Celui-ci représentait un visage d’homme et de femme ; l’un de couleur noir et l’autre blanc, de profil collé l’un à l’autre, chacun regardant dans une direction opposer. Il attirer étrangement son attention.
- C’est quoi ça ? Demanda t-il avec dédain. Kalim, étonné de cette question prit le pendentif dans ses mains.
- Ça ? C’est une amulette de la dualité.
- Et depuis quand tu crois en ces connerie de dualité toi ? Nogart semblait quelque peut étonner.
- Eh bien premièrement, depuis toujours, et deuxièmement, tu sais, ce n’est pas parce que tu ne crois en rien, que tout n’est que connerie ! Lui rétorqua t-il sarcastiquement en se relevant et en allant réajuster la selle de sa monture.
- Et bien de mon point de vue, si ! Répondit-il à son tour avec fierté en faisant de même. Au même moment, un groupe d’hommes en armure arriva vers eux. Une fois arrivé à hauteur des deux acolytes, un grand homme à la chevelure blonde qui ouvrait le cortège les interrogea agressivement.
- Eh vous ! Que font deux hommes sombrement vêtu au bord d’un lac, de nuit ?
- Mmm… je sais pas, et toi, ta la réponse ? Répondît Nogart après une courte réflexion, d’un air taquin en souriant et en regardant Kalim.
- Nan, mais je suis presser d’entendre la chute ! Répondit-il quant à lui d’un sérieux à tout épreuve.
- Je vois que vous avez de l’humour ! Le grand gaillard semblez tendue. Kalim fit un pas en avant puis rétorqua en s’agrippant à sa ceinture.
- Nous nous rendons à Blancheroche, mais nous avons quelque peu déviez de notre itinéraire initial. Insista t-il en envoyant un léger regard en coin d’œil à Nogart comme pour lui rappeler son erreur.
- Blancheroche ? Mais, vous êtes des nemrods ? S’exclama l’homme en apercevant l’écusson sur le torse de ses deux interlocuteurs.
- Ouah, alors lui, il est fort ? Marmonna Nogart en se grattant la tête.
- À ton avis, c’est l’accoutrement en cuir, nos épées dans le dos où nos belles gueules qui nous ont griller ? Rétorqua Kalim à voix basse d’un air toujours aussi sarcastique.
- Je me nomme Loïc, chef de la garde de Blancheroche. Vous n’êtes plus très loin. Nous allons vous escorter jusqu’à bon port, venez !
Ils chevauchèrent alors en les suivant. Après un court voyage le long d’une route forestière, le groupe arriva enfin à destination.
( PARTIE 3 )
- Il se fait long ! Cela fait des lustres qu’on l’attend ! Si j’étais seigneur, jamais je ne ferait poiroter de la sorte des invités ! Pesta Kalim silencieusement. En effet les deux nemrods commencer à se lasser de l’attente prolonger depuis que Loïc les avait conduit à la grande salle ; servant principalement à manger et à accueillir les invités, avant de les prier de bien vouloir patienté en attendant la venu du seigneur.
- Si jamais t’étais seigneur, je plaindrais tes sujets mon con ! Et descend ton cul de là, t’es pas chez ta vieille ! Répondit Nogart à son Frère d’arme qui avait prit ses aises en s’étant installer sur une table. Au même moment le seigneur fit irruption dans la pièce en compagnie de Loïc.
- Nemrods, je suis Brenan Norié seigneur de Blancheroche. Je me réjouis de votre présence ! Je n’espérais pas vous voir aussi tôt. Brenan était soulagé de la venue des deux hommes. Nogart s’avança puis serra la main du seigneur Norié.
- Je me nomme Nogart, et je vous présente mon coéquipier, Kalim. Ravi de pouvoir aider. Ce dernier descendit de la table puis salua à son tour Brenan d’une poignet de main. Dites moi seigneur Norié que se passe t-il exactement par ici ?
- Appelez moi Brenan, asseyez vous je vous en prie, bien c’est une longue histoire.
Brenan se mit alors à compter les faits survenue quelques jours plus tôt en commençant par la rencontre avec le vagabond. Loïc prit ensuite la relève, racontant à son tour les événement survenue lors de l’épisode de Cullwich jusqu’à son retour épuisé à Blancheroche. Il semblait encore traumatisé de ce qu’il vit. Sa voix trembloté, et son regard était empreint de peur. Ce détail n’avait pas échapper aux nemrods. Après de longues minutes à énuméré les faits jusque dans les moindres détails, le seigneur Norié ainsi que son fidèle attendirent une intervention. La situation était pour le moins troublante. En effet, aucune créature du bestiaire connu ne correspondait à ces descriptions.
- Vous êtes sur de ce que vous avez vu ? Demanda Kalim avec étonnement . Il est possible que ce que vous ayez vu n’était rien d’autre qu’une hallucination où une illusion habillement créer. Loïc devint légèrement rouge, et se mit à serrer le point en frappant violement sur la table.
- Mes hommes sont morts là bas, tout le village à disparu ! Alors cher nemrod, ne vous avisez pas de me traiter de menteur ! Kalim, au moment de répondre, fit couper par Nogart.
- Allons monsieur Loïc, calmons nous, personne ne vous traite de menteur. Cque voulez dire mon équipier, très maladroitement, c’est qu’aucune bestioles ne ressemble à cque vous décrivez. L’expression courtoise et apaisante du nemrod fit redescendre la pression.
- Vous croyez que c’est possible ? Une nouvelle créature, ici ? Demanda Brenan qui jusqu’alors se demeurée silencieux.
- Eh bien, la dernière découverte majeur en Altali remonte à plus de cent-vingt ans, mais rien n’est impossible. Répondit Kalim cette fois ci en adoptant un ton légèrement plus cérémonieux.
- Et qu’est il advenu du vieille homme que vous avez recueilli ? Est-il toujours ici ? Pouvons nous le voir ? Demanda Nogart en trifouillant sa grosse barbe rousse.
- Il est mort ! Il y a une nuit de cela. Le pauvre est parti dans son sommeil. Répondit Brenan. Bien, Vous avez très certainement du faire longue route depuis fort Exitium ! Loïc vas vous redirigé vers vos chambres. Reposez vous, car demain une tache ardu vous attend. Les deux hommes gagnèrent alors leurs chambres.
(PARTIE 4)
Les deux nemrods prirent la route pour Cullwich tardivement. Ils suivirent la route que Loïc leur avait indiquait. Ce dernier, au vu des récents événement ne souhaita pas les accompagner. Les dernières lueurs crépusculaire du soleil venant de se coucher éclairait légèrement la route, leur offrant un léger éclairage. Les deux chasseurs chevauchèrent de nuit, durant de longues heures. Traversant une route forestière semblant infini. Jusqu’à enfin apercevoir au loin les remparts du village. Un calme plat régnait. Pas un seul hurlement de loup, stridulation de grillon où encore de hululement de chouette, ce qui était courant dans la région.
- Jle sent pas Kalim ! Il y a une présence dans les environs ! Je peut le sentir ! Nogart ressentait que quelque chose d’étrange se passait.
- C’est toi qui à voulu venir de nuit vieille homme. De jours nous aurions eut une bien meilleur visibilité des lieux. Répondu le jeune compère avec un brin de sarcasme comme à l’accoutumé.
- Les deux fois où ces choses ont attaquer, c’était de nuit. Au temps mettre toutes les conditions de notre coté. Et ne m’appel pas vieillard ! Allez, allons-y. Ils avancèrent alors le long de la route. Se rapprochant de plus en plus de l’enceinte du village. Plus ils s’en approcher, plus les chevaux semblait excité et devenait dur à contrôler. Une fois arrivé face à la porte d’entrer, Nogart mit pied à terre. Il jeta par inadvertance un regard sur le bas de la porte. C’est alors qu’avec surprise il aperçut de la brume qui en émanait. Kalim le regarda d’un air interrogateur avant de descendre à son tour de sa monture. Suite à quoi il l’aida à ouvrir la porte. Les deux acolytes furent choquer de ce qu’ils découvrirent derrière cette dernière. Le village tout entier était plongeait dans une sorte de brume grisâtre. Jamais ils n’avait vu pareil chose. Il y faisait un froid qui semblait tout sauf naturel. Ils attrapèrent les rênes des chevaux puis les tirèrent dans l’enceinte du village. Ceux-ci ayant à peine franchi la porte, ils se mirent à hennir violement et frotter leurs sabots contre sol à en retourner la terre. Ils cabrèrent brusquement, forçant les deux hommes à lâcher prise. Une fois libre ils ne perdirent pas une secondes avant de fuir en direction de la foret en galopant à toute vitesse.
- Merde ! Putain dbestioles ! Ils ont dû sentir quelque chose ! Marmonna entre ses dents Nogart à la vue de leurs montures s’engouffrant dans la forêt.
- Bon, eh bien on dirait qu’on vas devoir continuer à pied. En effet ils n’avait d’autres choix. C’est ainsi qu’ils avancèrent prudemment, se laissant envahir par cette étrange brume aux allures infernal. Tout deux était sur leurs gardes, Kalim aperçut indistinctement ce qui semblait être d’étranges silhouettes humanoïdes aux apparences difformes. Mais le brouillard était bien trop dense pour pouvoir discerner correctement ce dont il s’agissait.
- Kalim, tu vois la brume ? C’est étrange elle semble…. Nogart n’eut le temps de finir que Kalim termina sa phrase.
- Suivre un courant ! Oui, mais cela signifierai qu’elle est généré par quelque chose. Soudain, Nogart aperçu à son tour une silhouette filant devant lui. Il n’eut qu’à peine le temps de la voir passer. Au même moment le bruit du clocher d’un temple se trouvant à l’autre bout de la rue, se mit à sonner. Tout deux comprirent rapidement qu’un affrontement avec ce qui se trouvait dans la brume arriverait plus vite que prévu. Brusquement, une légère brise vint caresser le visages des deux hommes se tenant au beau milieu de la route. Le seuil ainsi que les toitures des maisons se trouvant tout autour d’eux se mit à craquer. La lune disparaissais légèrement derrière les nuages, ce qui leur compliquait la tache. Apres un court moment de silence pesant, une forme vint se dessiner face à eux à l’autre bout de la rue. Sa posture faisait froid dans le dos. Son corps était tout tordu, et ne semblait pas avoir d’os. Ce qui aurait tétanisé n’importe quel guerrier d’élite, laissait les deux nemrods de marbre. Durant leurs années de formation ils subirent ce qu’aucun autre guerrier ne subit. Ils ont était élevé et entrainer pour ne ressentir aucune peur. Alors qu’ils se tenait là, face à elle, la créature se mit à avancer. D’abord en trainant le pas, puis en se mouvant de plus en plus vite jusqu’à finir par courir à toute vitesse.
Je m’en occupe ! Réplica Kalim sur de lui en s’avançant à son tour vers la créature. Tandis qu’elle chargeait à toute vitesse, lui avançait confiant. Il dégaina alors son arme du fourreau fixé à son dos comme tout nemrod, laissant ainsi découvrir un sabre à la lame noir mate et au bout de pommeau en forme de gueule de vipère. Il n’était guère commun de voir une tel arme. ( En effet cette lame légendaire était un secret de fabrication millénaire de l’ordre des nemrods. Forgé entre autre à partir de roche hurlante se trouvant au sommet des montagnes du grand désert méridional de Janub. Chaque nouveaux nemrods, pour achever sa formation, doit escalader ces montagnes par ses propres moyen, afin d’y récupérer de quoi se forger sa « lame ». ) Le long de cette lame, une inscription runique la traversait de bout en bout. Il l’approcha de sa bouche puis murmura : «ha’riia » c’est alors que les inscriptions s’illuminèrent d’une couleur rougeâtre flamboyante. Au même moment la créature fendit sur Kalim à toute vitesse tel un fauve. Celui-ci l’esquiva d’un reflexe surhumain en se décalant de son axe. La créature n’eut le temps de comprendre ce qui se passait, que dans son esquive le nemrod la découpa en deux d’un coup vif et précis assener à la taille. Le monstre aux allures ténébreuse rencontra le sol avec violence avant de se consumer dans des flammes ardentes de même couleur que les runes présente sur la lame du nemrod. La créature était en train de bruler dans d’horribles cris stridents qui résonnèrent jusqu’à l’autre bout du village. D’après la légende, les lames des nemrods serait indestructible et aurait grâce à un ancien secret de forgerie elfe, la capacité d’ôter la vie de tout être.
En quelques secondes il ne restait plus rien de la bête. Kalim tourna le regard vers Nogart en haussant les sourcils avec fierté comme pour se vanter de son accomplissement. Un silence se réinstalla aussitôt. Mais soudain, une autre silhouette, cette fois ci de femme, apparut au loin, prés du palier d’une maison. Seulement cette dernière n’était pas seul. En effet, non loin de cette dernière surgit une autre silhouette, elle-même suivie d’une autre. Il en surgissait de partout. En quelques secondes ils se retrouvèrent encerclé de toute part. Nogart s’avança alors à hauteur de Kalim.
- Au moins on sait comment les tuer ces saloperies ! Dit-il avec un sérieux inébranlable. Il dégaina à son tour son sabre dont le pommeau quant à lui représenté une tête de cerf. Il récita lui aussi la même formule que son coéquipier, ce qui fit également rayonner les inscription se trouvant sur sa lame d’une couleur rouge flamboyant. Les deux hommes se collèrent dos à dos afin de couvrir le plus de surface possible durant le combat à venir. Ils prirent leur armes à deux mains, puis élevèrent la lame à hauteur de leur visages. Ils restèrent immobile. Ils économisé leur force pour ce qui les attendait. Toutes les silhouettes chargèrent en direction des deux hommes. Il en arrivé de partout. Certaines avait même l’apparence d’enfants et d’autres de chiens. Kalim jeta un regard vif par dessus son épaule.
- Essai de pas claquer vieillard.
- Ne m’appel pas vieillard ! Hurla de rage Nogart de toutes ses forces en se jetant sur une créature qui lui foncer dessus. Kalim en fit de même. C’est ainsi qu’une lutte acharné fit rage. Tout deux se battait comme dix hommes. Malgré leur champs de vision réduit causé par le manque de lumière, ils mettait à mal l’armée de créatures qui attaquer avec bestialité en vague successive et interminable. Des flammes rougeâtre, résultant de la rencontre entre les lames des nemrods et les monstres jaillissait de toute part, éclairant ainsi brièvement la rue tel un rayonnement solaire illuminant les ténèbres. Les cris que poussait les créatures en mourant semblait en attirait encore plus. Le combat se faisait de plus en plus long. Bien qu’ayant une condition physique remarquable à la limite de ce que l’Homme pouvait atteindre, les nemrods savait qu’ils ne pourrait se battre indéfiniment. Se retrouvant vite submergé par le nombre semblant infini des monstres, Nogart releva l’arrière de son long manteau noir à fourrure, où il récupéra une sorte de petit sac en cuir de couleur rouge qui était fixé à l’arrière de sa ceinture. Le sac tenant dans le creux de sa main, était lui aussi recouvert de runes anciennes. Il le serra fort, puis récita de nouveaux une formule en langage inconnu, cette fois-ci à haute voix et en criant : «yann’aïir ». Les inscriptions dessus, se mirent à rayonner d’une couleur semblable à celle du soleil lorsqu’il atteint son zénith. Il le lança ensuite en direction des silhouettes approchant à vive allure. Le sac ayant à peine toucher le sol explosa, libérant une puissante onde de choc lumineuse et aveuglante qui désintégra une dizaines de monstres d’un seul coup. Le souffle de l’explosion fit légèrement dissiper la brume se trouvant aux alentours des nemrods. Ce qui permit à Kalim, entre deux coups d’épée, d’apercevoir une lueur violette provenant de l’intérieur du temple dont la porte se trouvait grande ouverte. De ce même lieu semblait provenir la brume, qui aussitôt vint combler le vide créer par le souffle.
- Et vieillard ta vu ça ? Demanda Kalim toute continuant à jouer de l’épée.
- Oe, un peu qj’ais vu ! Faut qu’on rejoigne ce temple ! On tiendras pas bien longtemps comme ça, il en viens de plus en plus. Répondit Nogart prit de fatigue en faisant de même.
- À terre ! Maintenant ! Nogart s’exécuta immédiatement. Kalim ferma les yeux, serra son poing, l’éleva face à son visage puis récita une formule : « kanha layhar tabarutt » lorsqu’il les rouvrit ceux-ci avait changer de couleur. Ils était passer de marron à noir ténébreux. Il frappa alors violemment le sol de son poing en s’y jetant à genoux. Soudain, une immense spirale de feu jaillit d’autour de lui, cramant toutes les créatures se trouvant à proximité. Nogart, s’étant jeter au sol, fit épargner du brasier qu’était devenu la rue. Il se releva à toute vitesse puis aida Kalim à en faire de même. Il était à bout force. Le sortilège qu’il venait d’utiliser avait comme drainer toute son énergie. Il le souleva en lui offrant son épaule comme appui. Ils se dirigèrent donc à toute vitesse vers la porte du temple. Mais à peine eurent-ils fait la moitié du chemin, qu’une flopée de créatures apparurent de nouveau. Il en arrivait de partout. Ils n’était pas en état de se battre. Les deux hommes se dirigèrent alors vers une maison se trouvant prés d’eux. Les créatures les poursuivait avec rage. Ils atteignirent la maisonnette de justesse. À peine entrer à l’intérieur, Nogart prit le soin de barricader la porte ainsi que les fenêtres. Ils était pris au piégé. La maison était cerner de créatures. Les silhouettes ombrageuse s’agglutiner tout autour, ne laissant aucune issu possible. Les deux nemrods était exténuer. Kalim était assis au sol, adosser à la porte d’entrer. Nogart le rejoignit après s’être assurer d’avoir sécuriser le bâtiment.
- Alors vieillard ? Tu tient le coup ?
- Tu tfou dma gueule où quoi ? Tu vas vraiment faire comme ci rien ne s’était passer ? C’était quoi cque tu ma fait dehors ? Demanda Nogart perplexe. Il semblait autant étonné de ce qu’il vit qu’il n’était essoufflé.
- Tu sais la fameuse mission dans le sud, en Abbarie ?
- Mmmm…. Tu veux parler de la fois où ta fait cavalier seul pour chasser des géants des sables ?
- Exactement. Eh bien comment te dire que j’ais reçus un petit coup de main. J’avais rencontrer une paysanne janubienne. Elle m’a aider à en venir à bout. Et on a quelques peu sympathiser dirons nous. Et au passage, elle ma appris deux trois petits trucs.
- Quoi ? Comment une paysanne peut… l’expression de Nogart se noircit soudainement. Attend, t’est en train dme dire, que ta sympathiser avec une putain de sorcière !
- Calme toi. Je sais ce que tu te dit : « un nemrod qui sympathise avec une sorcière, bla…blaba… »
- Bien sur que c’est cque jme dit abruti ! Jte rappel au cas où tu l’aurais oublier, que l’ordre à pour mission d’anéantir la vermine de son espèce !
- Eh bien cette « vermine » comme tu dit, elle n’était en aucun cas une menace ! Elle protéger simplement un village au beau milieu du désert, son village ! En quoi est-ce un crime ? La tension commencer légèrement à monter entre les deux coéquipier. Et la situation plus que problématique dans laquelle ils se trouvait, n’arrangeait en rien.
- Ah et puis merde ! Et dit moi cette « protectrice » elle ne t’aurais rien appris qui puissent nous sortir de là par hasard ? Demanda Nogart sarcastiquement.
Les deux nemrods restèrent assis durant de longues heures à attendre qu’avec un peu de chance les créatures s’en aillent. En observant sous le bas de la porte, Nogart se rendit compte qu’elles n’avait pas bougé. Elles était rester là, durant tout ce temps. Les deux hommes comprirent alors que si ils voulait sortir d’ici, il allait falloir créer leur propre chance.
- Bon au vu de ta tronche j’imagine qu’ils sont toujours là ! Rétorqua Kalim avec sarcasme en se levant.
- T’est un vrai génie toi ! Répondit Nogart qui aussitôt eut une idée. Kalim reconnaissait cette expression faciale, le connaissant il savait que ce qui suivrait ne lui plairait pas. Dit moi, tu te sent d’attaque ? Il le regarda avec un sourire en coin de bouche.
- Allez accouche vieillard ! Qu’est ce qui traverse ton esprit tordu ?
- Écoute, de toute évidence le fait d’avoir jouer les pyromanes ça ta bien affaibli. Il te faudrait une nuit entière pour que tu sois d’attaque. Mais en revanche, courir ça tu peux ! Kalim semblait perdu. Tu vas sortir dehors et cavalez, ces saloperies te suivrons. Quant à moi, je passerais après toi, et je m’occuperais de ce qui est à la source de toute cette merde. Ca te vas ?
- Bien sur ! J’aime me faire courser par des tonnes de créatures inconnu en pleine nuit, dans le brouillard pendant qu’un autre se la coule douce ! Répondit Kalim avec ironie. Nan mais attend, sérieux, tu te fout de ma gueule c’est ça ? Je peut très bien me battre, pourquoi c’est pas toi qui irais gambader avec ces conneries au clair de lune hein ?
- Alors premièrement, nan tu peux pas tbattre, et deuxièmement, tu ldit toi-même, je nuis un « vieillard », jme ferais chopper avant même d’avoir fait vingt mètres ! Rétorqua Nogart avec un sérieux toujours aussi inébranlable. Kalim savait qu’ils n’avait d’autre choix que de procéder ainsi. Heureusement la longue pose qui dura plusieurs heures lui permit de méditer afin de gagner en vitalité et en énergie. Nogart retira alors tout les meubles servant de barricade qui était poser contre la porte. Kalim, quant à lui retira son manteau afin de s’alléger, ainsi que le plastron se trouvant sur sa poitrine. Il donna ses deux bombes restante à Nogart qui les récupéra. Ce dernier en fixa une à sa ceinture puis garda la deuxième dans sa main. Il fit un signe de la tête comme pour demander à Kalim si il était prêt. Celui-ci acquiesça. Soudainement Nogart lança la bombe à travers la fenêtre, ce qui força les créatures ayant survécu à se disperser. Il en profita alors pour ouvrir la porte brusquement. Kalim en sortit en fonçant à toute allure. Les silhouettes se mirent aussitôt à le poursuivre. Ainsi il disparu dans la brume. Le silence revint alors. Nogart jeta un coup d’œil discrètement à travers la porte entrouverte, avant de sortir à son tour après avoir constaté que tout danger était écarté. Il se dirigea ensuite prudemment vers le temple. Plus il se rapprochait, plus la lueur violette qui en émanait se définissait. Après avoir traversé la moitié de la rue il arriva face à l’entrer. Il dégaina son sabre, inspira un grand coup, puis franchit l’entrer dépourvu de porte. Plus il avançait plus la brume semblait diminuer. Il arriva à un point où il pouvait apercevoir plus ou moins correctement les alentour. Il se trouvait dans une grande salle de prière. La pièce était rempli de bancs servant à accueillir les fidèles. Le carrelage recouvrant le sol de tout le bâtiment était séparé en deux couleurs. Un coté était noir tandis que l’autre était blanc. Au fond de la salle, il y avait deux énorme statues imposante se trouvant chacune dans une couleur différente. La première était une femme se trouvant du cotée blanc et étant peinte de même couleur. De l’autre cotée, la statue représenté un homme peint en noir. En continuant d’avancer, la brume diminuer toujours plus. Nogart leva les yeux au plafond, y découvrant une peinture représentant la même chose que l’amulette de Kalim. En effet il se trouvé dans un temple dualiste, ce qui était plutôt rare dans la région. Soudain il aperçut un couloir duquel la lumière semblait plus vive que partout ailleurs. En empruntant ce couloir il aperçut, suspendu tout le long, des hommes, des femmes et même des enfants suspendu au plafond par des chaines recouverte de sang. Le lieu ressemblait à un abattoir. Les dizaines de cadavres s’y trouvant, offrait une vision d’horreur à glacer le sang. Touts les corps était ouvert en diagonale montrant une vue d’ensemble sur les entrailles de ces derniers. Prudemment, Il continua sans faire un bruit à avancer. En arrivant au bout de la voie, il vit une trappe ouverte d’où la brume semblait provenir. Il s’avança, tenant son sabre le long de son corps. À peine eut-il avancer, qu’une silhouette apparut devant lui. Celle-ci était différente des autres. Plus elle avancer vers le lui plus elle se définissait. Nogart se prépara à attaquer. Mais soudain, lorsque la silhouette était suffisamment proche, il se rendit compte que c’était un nemrod. Ce dernier semblait pâle et désorienter.
- Vous.... vous êtes un nemrod ! C’est vous ! Le conseil m’a envoyer pour vous retrouver. Le concerné ne répondit pas, mais continua à avancer. Il s’arrêta soudainement face à Nogart. Il essayer de dire quelque chose. Ses lèvres bouger mais aucun son n’en sortait. Vous allez bien ? Demanda Nogart. Il sentait que quelque chose de mauvais se tramait. Brusquement, le nemrod qui avait jusque là le visage incliner vers le bas releva la tête. Il laissa alors découvrir un visage en sang défigurer. Il essayer à nouveaux de dire quelque chose. Cette fois-ci, deux mots sortirent de sa bouche : « sauvez vous ». À peine ces mots prononcer, il fut happé par une sorte de chaine en acier recouverte de sang au bout du quel un crocher était planté dans le dos du pauvre homme. Nogart assista impuissant au cris du nemrod se faisant trainer le long du couloir jusqu’à disparaitre sous la trappe. Mais il en fallait plus pour l’effrayer. Il se dirigea vers celle-ci puis Descendit. Il se retrouva dans une cave. Laquelle était envahi de cette fameuse lumière violette. Elle provenait d’une spirale de lumière et de fumée qui semblait colée au mur. En se rapprochant prudemment de cette dernière, il se rendit compte qu’il s’agissait en réalité d’un portail d’origine magique. Il ne savait où il menait, mais au vue de la fumait qui y provenait et des éclaires qui tournoyait autour, il était chose aisé d’en déduire que tout ceci découler d’un dessein diabolique. Maintenant, il savait ce qui causé cette brume et d’où provenait ces étranges silhouettes. Face à lui, le cadavre du nemrod reposer au sol. Tout a coup, une voix anormalement grave retentit.
- Nemrod ! Cela faisait si longtemps que je n’en avait pas gouter !
- Qui me parle ? Montre toi enfoiré ! Cria Nogart sans peur. Aussitôt elle apparut de l’intérieur du portail. Une grande créature à l’apparence ignoble. Cette dernière avait un corps humanoïde recouvert de poils et muni de quatre bras. Au bout de chaque bras, des mains de trois doigt seulement, recouvert de griffes. Elle était muni d’une queue au bout de laquelle il y avait un dard semblable à ceux des scorpions. Enfin, pour finir, sa tête ressemblait à celle d’un serpent poilu ayant des oreilles de loup. Lorsqu’il sortit entièrement du portail, il était gigantesque. Nogart, pourtant de grande taille ressemblait à un enfant à cotée de lui. Le monstre tenait dans ses deux mains inferieurs une longue chaines orné d’un crochet dégoulinant encore de sang frais. Qu’est ce que t’es comme connerie toi encore ? Demanda Nogart à la créature en la provoquant. Malgré les apparences il était impressionnait de ce qui se trouvait face à lui. Jamais il n’eut vue pareil atrocité.
- Je suis ta mort ! Répondit-il en poussant un cris assourdissant. L’odeur qui provenait de sa grande gueule était nauséabond. Au même moment elle fonça sur Nogart qui aussitôt cette dernière arrivé à sa hauteur, lui trancha l’un de ses bras inférieur d’une vitesse presque imperceptible. La créature ne réagit pas. Le nemrod porta immédiatement un autre coup d’épée à hauteur de l’abdomen du monstre faisant ainsi sortir les boyaux de leurs entrailles. Le monstre ne réagissait toujours pas, il semblait ne pas sentir la douleur. D’un mouvement brusque, la créature se retourna donnant ainsi un puissant coup de queue à Nogart, qui décolla du sol pour aller se fracasser contre le mur à l’autre bout de la pièce.
- Je prendrais un malin plaisir en jouant avec tes boyaux moi aussi ! Hurla le monstre en fondant sur son adversaire à toute vitesse. Le nemrod n’eut le temps de se relever, que la créature le prit à une main et le souleva. Elle ouvra grand sa gueule, laissant alors se découvrir plusieurs rangée de dents ainsi que deux langues adjacentes remuant dans tout les sens. Nogart perdit son arme lorsqu’il heurta le mur. Il était désarmé. Je me demande quel gout tu peut avoir ? Dit-elle avec de la salive dégoulinant de partout.
- Celui de ta mère ! Hurla Nogart qui réussi à récupérer une bombe avant de la lâcher dans la gueule du monstre. Cette dernière lorsqu’elle explosa, fit éclater le gosier de la créature qui s’écroula au sol. Avec difficulté, le nemrod se releva puis alla récupérer sa lame. Lorsqu’il se retourna en direction du monstre, ce dernier était de nouveaux sur pied. Son bras avez repousser et sa blessure au ventre disparu. Nogart n’en croyait pas ses yeux. Putain mais t’es quoi toi ?
- Je ne suis que l’humble serviteur du tout puissant Aingoroth ! Répondit le monstre comme ci de rien n’était.
- Eh bin « Aingoroth » moi ça saloperie ! Crame ! Réplica Nogart en fonçant sur le monstre, sabre à la main. Il lui glissa entre les jambes puis se retrouva dans son dos. Il lui planta sa lame dans les cotes. Les runes de la lame était bien rougeâtre, mais la cherre du monstre ne brulez pas. Ce dernier l’étrangla alors avec sa queue puis le jeta de nouveau à l’autre bout de la pièce. La créature semblait immortel. Nogart atterrit à cotée du corps du nemrod. Ce dernier, n’était en réalité pas encore mort. En pleine agonie, il glissa à Nogart ce mot : « glace » immédiatement, Nogart se releva. Il eut à peine le temps de ramasser son arme, que la créature était prés de lui. Elle mit un coup de dard que Nogart contra avec son sabre. Il fit une roulade puis se releva.
- Nous ne craignons pas le feu vermine ! Le monstre harcela le nemrod avec sa chaine. Nogart parvint à esquiver tout les coups, avant de trancher un deuxième bras à son adversaire. La créature d’un coup rapide planta ses griffes dans le ventre de Nogart. Tout deux poussèrent un cris en même temps. Malgré la douleur ils tenait toujours debout. D’un coup de coude, il brisa les griffes puis planta sa lame dans l’œil du monstre qui s’effondra de nouveau. Ce combat semblait perdu d’avance. La créature se releva aussitôt.
- Vermine ! Hurla t-elle. En se relevant elle marcha par inadvertance sur la lame du nemrod agonisant. Celle-ci s’illumina d’une couleur blanche pâle suite à la formule récité discrètement par ce dernier. Elle hurla d’une puissance tel, que la cave entière trembla. Nogart assista à la scène avec étonnement. Pour une mystérieuse raison, le monstre semblait être affecté par les runes de l’arme. C’est à ce moment qu’il comprit. La « glace » la créature était vulnérable au pouvoir élémentaire de la glace. Aussitôt il saisit son sabre puis récita une formule : «gel’yia » les runes présente sur la lame s’illuminèrent alors en blanc pale à leur tour. Le monstre fut prit de peur.
- Tu vas morfler ma jolie ! Réplica Nogart en fonçant sur la bête. Cette dernière tenta de lui assener un coup de griffe, mais il l’évita d’un mouvement circulaire puis lui trancha la jambe au niveau de la cuisse. Cette dernière se cristallisa puis vola en éclat lorsqu’elle percuta le sol. Le monstre hurla encore plus fort. Dorénavant, Nogart avait un avantage, il connaissait son point faible. Le nemrod se jeta sur le monstre au sol puis le taillada à plusieurs reprises. Ce dernier tenta de se relever en attaquant son adversaire avec son dard. Mais Nogart le trancha immédiatement. Il releva la tête de la bête en l’attrapant par les oreilles.
- Alors, c’est qui la mort maintenant ? Demanda Nogart avec un grand sourire.
- Le grand Aingoroth seras bientôt de retour, et vous mou… il n’eut le temps de terminer que le nemrod lui trancha la tête qui se cristallisa a son tour.
- Ah ta gueule ! Nogart se releva avec difficulté. Sa blessure était profonde. Il se dirigea ensuite vers le portail. Il lâcha son arme, puis tendit la main vers celui-ci. Il commença alors à réciter une sorte d’incantation : « aylibarrity uiplijiot qityario…. » au fur et à mesure qu’il récité, le portail rétrécissez. Alors que ce dernier n’avait plus que la taille d’une porte, il entraperçut à travers un visage. Un visage sombre, qui de ses huit yeux l’observait. Il ne dit rien. Le nemrod et ce qui se trouvait face à lui se regardait sans dire un mot. Le portail étant presque fermer, le mystérieux visage disparu aussi vite qu’il était apparu. Lorsqu’il se referma complètement, le portail généra un souffle qui fit perdre l’équilibre au nemrod, qui exténué par le combat et par sa blessure perdit connaissance. Lorsque Nogart se réveilla, il se trouvait dans une chambre, allongé dans un lit chaud. Il se leva en sursaut. Kalim était présent. Il le rassura aussitôt.
- Eh eh, doucement vieillard. Tout vas bien, t’est hors de danger.
- Kalim ? Ou-est-ce qu’on est ? Nogart était légèrement désorienté.
- Du calme, on est à Blancheroche. Je t’ais trouver dans la cave du temple. Tu était inconscient. Aussitôt, Nogart regarda sa blessure. Celle-ci avait était bandée avec soin.
- Comment ta fait pour les créatures ? Tu les as eut à toi tout seul ?
- Eh bien, bien que j’en sois totalement capable, non. D’un seul coup, la brume s’est mit à disparaitre. Comme par magie. Et les créatures sont parti avec. Nogart ria légèrement.
- Comme par magie oe . Il expliqua alors tout ce qui c’était passer en détails a Kalim sans délaisser le moindre détail.
- J’y crois pas. Alors le bloc de glace que j’ais trouve dans la cave c’était le truc qui ta fait ça ?! En effet après sa mort la créature c’était cristalliser puis gélifier. Donc pendant que je courais comme un dérater, toi tu te battait contre un truc poilu venu d’un portail, qui menait où d’ailleurs ?!
- Aucune idée. Mais ce que je peut te garantir c’est que ça ne venait de très loin.
- Je vois. Bon allez je te laisse, dort vieillard. Prend des forces qu’on puissent se tirer d’ici en vitesse. Et tu sais, une fois à fort Exitium tu devrais parler aux conseil de ton histoire de portail et de messager. Ça à l’air de bien puer tout ça. Sur ce, Kalim quitta la chambre. Nogart resté allongeait, fixait le plafond. Il n’arriver pas à trouver le sommeil. Il n’arrêter pas de penser à ce qu’il avait vue de l’autre cotée du portail. Il savait que Kalim disait vrai, cela ne sentait que trop mauvais. Il était persuader que ce qui l’observait ferais surface. Peut être à raison.
( EPILOGUE )
Nogart se trouvant dans la grande salle, venait de raconter les récents événements de Cullwich au conseil. Une fois ceci fini la vieille femme y siégeant prit la parole.
- Maitre Nogart, nous vous remercions pour vos services. Et nous entendons vos craintes vis-à-vis de cet étrange portail. Vous pouvez disposer. Nogart salua le conseil d’un mouvement de tête puis s’en alla. La femme suivit le nemrod du regard jusqu’à ce qu’il quitta les lieux en restant silencieuse. Une fois eut il refermer la porte, son regard changea. Son regard droit et fier, s’emplit de peur. Eh bien mes cher confrères, il semblerais que nous soyons la génération qui assisteras à la fin de toute chose. Je craint que Tidlig le destructeur ne soit de retour !
FIN
Ce petit récit laisse deviner un vrai monde. Cependant, il y a vraiment un très gros problème de mise en page et de correction. C'est très difficile de s'investir dans le récit, du fait d'une grammaire très très problématique. Un programme de correction automatique comme peut-être Antidote (Bien que ce ne soit pas donné) pourrait aider.
D'un point de vue plus littéraire, je pense que tu devrais supprimer beaucoup de termes superflus. Par exemple, Pour la description de Mordred. Une carrure impressionnante, serait plus propre qu'une carrure 'relativement impressionnante', qui déconcerte davantage qu'elle n'offre de précision. De nombreux de petits détails aussi, comme 'ses cheveux de couleur noire'. Ses cheveux noirs, tout simplement. La description de la voix de son épouse. 'Une voix de femme au son angélique'. Une voix angélique ou une voix d'ange suffit largement, la vigne suivante nous indique par le dialogue que c'est une femme. De la même manière, inutile de préciser qu'un visage parfait soit sans imperfections. C'est ce que ça veut dire. Quant aux rides… Ce n'est pas nécessairement une imperfection. Les rides peuvent être d'expression, indiquant quelqu'un de vivant. Cela peut être également un signe de sagesse, d'inquiétude pour ses enfants ou son époux…
Je te conseille de relire le texte, et de supprimer absolument tout ce qui n'apporte pas une information que l'on peut aisément déduire par le contexte. Même chose pour les éléments de background. Plutôt que de nous expliquer carrément l'histoire des épées des nemrods entre parenthèses, peut-être repousser cette explication pour plus tard dans le récit lors d'une meilleure occasion, ou bien au moins au travers du prisme de son expérience personnelle. Quelque chose comme 'le cri était semblable à celui des roches hurlantes du sommet de… Qu'il avait dû escalader comme tous les jeunes membres de son ordre, pour forger son sabre initiatique, toujours à son côté depuis toutes ces années'.