C'était un jour comme les autres, en apparence. Mes talons raisonnent sur le parquet du couloir du bureau de mon mari, ce dernier est un homme très riche et influent il s'agit du sénateur David Will. J'étais derrière la porte du bureau de mon mari quand j'entends de drôles de bruit, des gémissements féminins, voila que ça recommence. Je saisis la poignée de la porte et rentre surprenant mon mari avec son assistante. -ça va je vous dérange pas trop !, d'accord j'ai deux minutes de retard mais quand même. Mon mari était assis sur sa chaise, son assistante sur ces jambes la jupe remontée, à mon entrée cette dernière est tombée sur le sol. -Ma chérie, quel plaisir de te voir. Il se lève et vient me rejoindre. -j'en dirais presque autant pour moi ; lexa par pitié debout ! La jeune fille se relève, les joues rouges comme le tapis du bureau. -Bonjour madame will. -Lexa, sortez de mon bureau et laisser moi avec ma femme ! Cette dernière s'exécute. Je m'assis sur le bureau de mon mari face à sa chaise. -Pourquoi m'avoir fait venir ? si c'était pour voir ce spectacle pitoyable ce n'était pas utile, j'en ai vu d'autres. David sors d'un tiroir de son bureau une grande enveloppe qui à l'air bien remplie, je la pointe du doigt. -Qu'est ce que c'est ? -Des photos de toi prise pendant ton sommeil quand tu étais seul à la maison, des menaces de kidnapping, de morts. Son visage ne trahissait aucune émotion réel du moins, moi c'étais l'inverse, je sentais un puissant sentiment de panique m'envahir, les larmes me montaient aux yeux. -Qui a fait ça ? Pourquoi ? -Ma chérie, je ne sais pas mes hommes travaillent dessus mais pour l'instant on ne sait rien, c'est pourquoi j'ai pris une décision. Il se lève de son fauteuil pour se placer près de sa grande fenêtre, il avait l'air inquiet maintenant, le regard grave. Il poursuit alors. -Tu vas rentrée à la maison, quelqu'un t y attend, tu vas faire tes affaires et le suivre sans posée de questions. -Et toi ? -Je t'accompagne jusqu'à la maison pour la rencontre une fois fais je reviendrais ici, le chauffeur nous attends. De toute évidence je n'ai pas mon mot à dire, nous descendons au sous sol où la limousine nous attends, le trajet vers la maison est très silencieux, je réfléchis à ces photos, ces menaces, on aurait pu me tuer quand je dormais, Mon mari reste calme, il l'est toujours au final sa non réactions est presque rassurante comme s'il gérait la situation. Nous arrivons devant notre grande maison, une moto est garé devant notre garage. La porte s'ouvre, le chauffeur m'aide à descendre. -Mademoiselle. -Merci john. Mon mari me rejoint pour rentrée dans notre maison.
