Chapitre 3

Notes de l’auteur : Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir, n'est-ce pas?

Seulement quelques semaines après ce retour mystérieux, des adultes commencèrent à se sentir mal puis à mourir. J’entendis à la radio que tous les traitements avaient échoués. Ensuite, il n’y eu plus de communications, que du bouche à oreille, des bruits rapportés par les rares survivants croisés. Les enfants qui étaient revenus étaient apparemment porteurs d’un virus mortel pour les plus vieux.

Les attaques ont alors repris, les enlèvements aussi, sans trop de résistance. Les ridés viennent se servir quand ils en ont besoin maintenant. Nous sommes devenus leur garde-manger en quelque sorte.

Cependant, Vilak a entendu parler d’un bateau, un bateau laboratoire où ils feraient des tests pour trouver un remède à cette étrange maladie, entre autre chose. Des scientifiques qui auraient survécu. Ca parait trop beau pour être vrai. Peut être est-ce juste une légende urbaine qu’on se raconte maintenant pour tenir ? En tout cas, nous devons essayer de le trouver, peut être que le sang de Vilak pourrait nous aider ? Peut être aussi qu’ils pourraient améliorer le bélier que nous avons et nous permettre de voyager dans l’autre sens, d’aller dans la dimension des ridés pour détruire leur source d’énergie ?

Beaucoup d’incertitudes, mais ce qui est sûr c’est que si nous arrivons sur ce bateau, je me ferai un plaisir de mettre cette lettre dans une bouteille et de la jeter à la mer pour que quelqu’un la trouve, pour que quelqu’un connaisse et répète partout mon dernier conseil : il ne faut pas désespérer, il y a des gens quelque part prêts à se battre.

 

Je le répète et toi aussi tu dois le faire : si tu lis cela, c'est qu'il reste un espoir pour la Terre.

Au fait, j’oublie la politesse avec tout ça. Moi c'est Maël.

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