C'était par une après midi d'été,
Que la route de ma pensée s'est ouverte
Ô la belle, qui d'herbe est comblée
Saura bien m'oublier ma perte
Je quittai la ville, tranquille mais bruyante
Ma pensée tournée vers le Sacré Cœur
Âme des poètes, Tour Eiffel oubliée,
Pardonne ma fuite, pardonne ma peur
En quête du temps volé, quête pour ma demeure,
Devant moi doucement, un oiseau s'est posé
Ne chanta pas, ne chanta pas ma liberté
J'étais l'oiseau même de ma pensée,
Alors je couru, vers les chemins cachés
Rejoindre la ville des femmes éthérées
C'était par une après midi d'été,