C'était par un matin de Printemps
Les oiseaux chantant,réveillaient doucement Paris
Je me levai,secoué un instant
Par la plus belle pensée de ma vie
Je courais nu de pensées dans les rues
Non pas pour quelques regards interrogateurs
Courai comme voleur,qui de lui est déçu
Ô temps volé,m'emmèneras tu ailleurs ?
M'emmèneras tu sur les monts brumeux ?
Que nul philosophie embrasse
M'emmèneras tu dans les village fougueux ?
Dont quelques peintres écrivent la trace
Je ne vois nul lieu semblable
À celui que le temps m'a volé
C'était par un beau matin de printemps,