Joyeux Noël

Par Freyja

Noël était arrivé plus vite qu'on aurait pu le croire. Depuis décembre, le château avait commencé à se vêtir aux couleurs de Noël. On avait croisé Hagrid transportant un énorme sapin sur son dos, qui trônait désormais dans la Grande Salle.
Ron et Iladys avait dit au revoir à Hermione sur le quai de Pré-au-Lard, puis était rentré avec Hagrid, avant de boire un chocolat chaud en sa compagnie. Ils avaient discuté quelque temps, avant de reprendre le chemin du château. Ce dernier s'était vidé, la majorité des élèves étant partis passer les fêtes en famille. Ron et Iladys remontèrent donc jusqu'à leur Salle Commune dans un grand calme, ne croisant que Nick Quasi-Sans-Tête.
Dans la Salle Commune, il ne restait que Fred et George, en plein jeux de cartes. Eux aussi semblaient plus calmes dans le silence de la Salle Commune de Gryffondor. Iladys monta jusqu'à son dortoir, redescendant rapidement avec du papier et des plumes.

"Tu ne vas pas déjà faire tes devoirs?", s'indigna Ron.

"Bien sûr que non, j'écris une carte de vœux pour Hermione.", répondit-elle en s'asseyant à la table, avec lui et ses frères.

"Mais elle vient juste de partir.

- Noël n'est dans pas si longtemps. Je veux qu'elle reçoive son cadeau et sa carte le jour même, alors je m'y mets tout de suite. Regarde, Dumbledore m'a donné du papier à lettre de Noël."

Elle lui tendit l'un des papiers, où, en bas de page, on pouvait voir des petits lutins en vert et rouge se jetant des boules de neiges, alors que tout autour de la page, des guirlandes scintillaient, et des cloches remuaient sans cesse. Ron fit une légère moue, mais il alla lui aussi chercher son cadeau qu'il s'activa à emballer. Les activités furent donc calmes, durant cette première après-midi de vacances, chacun emballant ses cadeaux dans son coin. La soirée arriva paisiblement, alors qu'Iladys profitait du feu de la cheminée. Les trois Weasley finirent par la rejoindre.

"On a eu une idée.", déclara Fred en s'asseyant, comme elle, à même le sol."Puisque cette année, on est que tous les quatre, on s'est dit: autant dormir tous ensemble!".

Iladys le regarda sans comprendre, pas très sûre de ce qu'il voulait dire. Mais en tout cas, il devait avoir raison, elle n'avait vu personne d'autres qu'eux-mêmes.

"Se sera plus convivial.", appuya George."Comme on ne peut pas aller dans les dortoirs des filles, tu viendras dans le notre."

"Ne t'inquiètes pas pour ton intimité.", sourit Fred sous son regard incrédule.

Iladys ne pensait pas à ça. En soit, ça ne la gênait pas de partager une chambre avec eux. Elle préférait ça que de dormir seule dans son dortoir. Mais elle ne s'était malgré tout pas attendue à une telle proposition.
Pourtant, aussitôt dit, aussitôt fait. Ron et elle allèrent chercher leurs affaires, et migrèrent dans le dortoir des jumeaux. Ils se choisirent chacun un lit, et installèrent leurs affaires à côté.

"Je ne savais pas qu'il y avait un autre garçon de votre année à Gryffondor.", s'étonna Iladys en découvrant ce quatrième lit.

"Si. Towler Kenneth. Mais on ne le fréquente pas particulièrement, c'est pour ça.", répondit Fred, assis sur son lit.

"Très gentil pourtant.", compléta George.

"Trop.", renchérit Fred.

Son jumeau se contenta d'acquiescer dans un sourire, et Ron et Iladys ne purent que se lancer un regard interrogateur.

"Va dans la salle de bain Iladys, honneur aux dames.", déclara George en indiquant la direction de cette dernière.

Prenant ses affaires, la jeune sorcière ne se fit pas prier et se dirigea jusqu'à la dite salle de bain, afin d'enfiler son pyjama. Au grand plaisir de Fred, mais aussi de la majorité des garçons, elle gardait désormais ses cheveux détachés. Evidemment, c'était surtout pour Fred qu'elle le faisait. Elle prenait grand soin de coiffer ses cheveux matin et soir.
Elle revint rapidement dans le dortoir, et se glissa sous les couvertures, alors que chacun leur tour, les garçons se rendaient dans la salle de bain. L'absence d'Hermione se faisait ressentir. Jusque là, Iladys n'avait jamais ressenti le manque de ne pas avoir une amie. Désormais, au moindre émoi de son cœur, elle cherchait à tout prix Hermione pour lui en parler. Elle se demandait parfois si elle n'embêtait pas sa camarade, qui semblait si sérieuse. Mais Hermione était juste, réfléchie et pleine de bons conseils. Elle comprenait enfin ses filles, à son internat moldu, qui se disaient unies pour la vie, meilleures amies. Elle ne savait pas si Hermione et elle seraient "amies pour la vie", mais dans tout les cas, c'était actuellement sa meilleure amie. Evidemment, il y avait Ron. Mais il y avait des choses dont elle ne pouvait pas lui parler, elle s'en était vite rendue compte. Comment lui expliquer à quel point la présence de Fred, son frère ainé, lui était agréable? Comme elle le trouvait beau. Avec son sourire charmeur, ses petits yeux marrons, ses cheveux roux, son visage encore enfantin, et qui promettait pourtant un bel homme.

"Bonne nuit Fred.

- Bonne nuit George.

- Bonne nuit.", déclara Ron.

"Bonne nuit.", répondirent en cœur les jumeaux.

"Bonne nuit.", souffla timidement Iladys.

"Bonne nuit.", répondirent en cœur les trois Weasley.

Le lendemain, après le petit-déjeuner, Iladys s'empara de son cadeau pour Hermione, bien emballé avec sa carte, et se rendit jusqu'au bureau de Dumbledore. Elle atteignit vite la gargouille et monta l'escalier quatre à quatre. Elle n'arrêta sa course que devant la porte du bureau, prenant le temps de frapper. Au son de la voix de Dumbledore qui l'autorisait à entrer, elle poussa timidement la porte et laissa apparaître son visage rond enfantin, entouré de ses longs cheveux noirs. Dumbledore sourit, amusé par cette apparition. Il se leva de son bureau, se dirigeant vers la jeune fille.

"Que me vaut cette visite?

- Je peux t'emprunter ton hibou? J'ai un colis pour Hermione.", répondit-elle en lui montrant la boite emballée qu'elle avait dans les mains.

Dumbledore ne cessa de sourire, réellement amusé par une situation qu'il n'aurait jamais crue possible, il y avait à peine quelques mois.

"Evidemment.", répondit-il en tendant le bras vers l'animal en question.

Le hibou, conscient qu'on avait besoin de ses services, se rapprocha, et tendit une patte, où Iladys accrocha son précieux colis.

"Mais tu sais, il y a les hiboux de l'école pour ça."

Iladys rougit. Elle avait complètement oublié. Elle avait tendance à se précipiter auprès de Dumbledore dès qu'elle avait besoin de quelque chose.

"Je plaisante!", ricana le magicien."Tu peux venir ici autant que tu veux. Et puis Fumseck est toujours heureux de te voir.", continua t-il en indiquant son phénix.

Iladys s'en approcha, et l'oiseau approcha sa tête, afin de recevoir une caresse. Iladys connaissait bien cet oiseau. Aussi loin qu'elle se rappelle, Dumbledore l'avait toujours eu. Elle l’avait vu naître et renaître sans cesse, toujours très admirative de ce phénomène.
Dumbledore était retourné s'asseoir à son bureau. Dans cette ambiance bon enfant, Iladys se demanda si ce n'était pas là une bonne occasion d'obtenir des informations. Avant de partir, Hermione leur avait donné conseils sur conseils pour leurs recherches, et avait également conseillé à Iladys d'interroger Dumbledore, même si c'était peine perdue. Après tout, qui ne tente rien n'a rien.

"Albus. En lisant un livre, j'ai croisé le nom de Nicolas Flamel, mais il n'y avait aucune indication à son sujet. C'est quelqu'un d'important?"

Elle avait tenté de paraître le plus désintéressée possible, comme si cette question n'avait pas la moindre importance, mais le directeur de Poudlard n'était évidemment pas dupe.

"C'est un vieil ami à moi. Et si Hagrid ne t'en a pas dit plus, il y a forcément une raison."

Dumbledore souriait, mais face à la perspicacité de son tuteur, Iladys ne put s'empêcher de rougir, et de se détourner de son regard perçant, afin de se concentrer sur Fumseck.


Après cette entrevue, elle revint à la Salle Commune, avec malgré tout, un léger indice. Nicolas Flamel était un vieil ami de Dumbledore. Cette piste les mènerait peut-être quelque part. Dumbledore était un sorcier important, avec des titres pompeux qu'Iladys n'avait jamais retenus, alors il devait bien y avoir des biographies sur lui à la bibliothèque de Poudlard. Elle décida donc que leurs prochaines recherches, à Ron et elle, s'orienteraient dans ce sens là.
Lorsqu'elle arriva à la Salle Commune, il était clair que les garçons l'attendaient. Ils avaient leurs manteaux, gants et bonnets à porter de mains. Ron avait même pris les siens, et ils la forcèrent presque à les enfiler, avant de se précipiter dehors. Ce n'était pas vraiment au goût d'Iladys. Elle trouvait la neige très jolie, mais elle n'aimait pas le froid. En hiver, rien ne lui était plus agréable que de rester à l'intérieur, près d’un feu de cheminée, et un livre à la main. Mais les garçons avaient apparemment décidé de patiner sur le lac gelé. Cette idée était encore plus effrayante. Iladys n'avait jamais patiné. A son internat moldu, elle n'était pas très douée en sport. D'ailleurs, elle se demandait toujours par quel miracle elle arrivait à tenir sur un balai. Elle restait quelqu'un de maladroit, plutôt gauche. Alors l'idée de se retrouver en équilibre sur de la glace ne la réjouissait guère. Ron fut le premier à se lancer. Il n'était pas particulièrement doué, mais il tenait debout. Les jumeaux eurent l'amabilité de prendre chacun une main d'Iladys, afin de l'aider dans ses premiers pas sur la glace. Ce fait aida évidemment Iladys à trouver le patin à glace légèrement agréable. Certes, elle avait des gants, et Fred aussi, mais malgré tout, il lui tenait la main. Ce simple fait ensoleillait sa journée. Tout comme les encouragements des garçons. George lui prodiguait des conseils, Fred l'encourageait et Ron affirmait qu'elle ne pouvait être que douée puisqu'elle était la meilleure attrapeuse que Gryffondor n'ait jamais eue. Quoique le compliment lui fasse plaisir, elle n'était pas sûre de mériter ce qualificatif après un seul match.

"Allez, on te lâche maintenant!", déclara brusquement George.

Ils avaient fait trois tours ensemble, suivi de près par Ron, mais Iladys n'était pas plus en confiance, et son regard affolé fit sourire les jumeaux, qui lui lâchèrent malgré tout les mains. N'ayant plus rien à quoi se raccrocher, elle paniqua. Son corps sembla tout à coup se balancer d'avant en arrière, tentant de trouver un équilibre précaire. Comment pouvaient bien faire les garçons pour tenir sur des patins. Elle tenta d'avancer, et s'affala sur les fesses. Les trois Weasley se précipitèrent.

"Bah alors!", fut le commentaire d'un Ron surpris.

George et Fred l'aidaient à se relever, alors que son meilleur ami semblait la scruter des pieds à la tête, veillant à ce qu'elle n'ait pas la moindre égratignure. Etrangement, les jumeaux étaient pris d'un fou rire.

"On ne peut pas dire que tu sois aussi agile que sur un balai.", se moqua George.

"Heureusement que tu ne te contorsionnes pas comme ça là-haut.", renchérit Fred.

"Mais oui, c'est étonnant.", ajouta Ron.

"Sache que je n'ai jamais été douée en sport! Arrête de te faire des idées saugrenues à mon sujet!", rugit Iladys.

Vexée par les moqueries des jumeaux, elle entreprit de revenir sur la neige. Le problème étant que les jumeaux l'avaient menée un peu trop loin. Se contorsionnant plus que jamais, elle avança lentement et péniblement, sous les fous rires des jumeaux. Finalement, elle atteignit les rebords du lac, soulagée. D'un pas décidé, elle se dirigea vers le château. Mais un contact froid dans ses cheveux et son cou la stoppa. De la neige. On lui avait envoyé une boule de neige. Elle se retourna, et en reçut une en pleine figure. Les jumeaux éclatèrent de rire.

"Bien joué George!

- J'aurais vraiment voulu le faire, je n’aurais pas réussi."

Ron lui-même, face au visage incrédule d'Iladys, ne put s'empêcher de rire. Il n'en fallut pas moins pour qu'Iladys se prépare rapidement trois boules de neige, et en bombarde les trois têtes rousses, trop occupés à ricaner pour s'inquiéter de ses représailles. La sortie patinage tourna donc rapidement en bataille de boules de neige. Ron s'associa à Iladys contre les jumeaux, et ils rentrèrent tout les quatre trempés au château. Ils passèrent chacun leur tour sous une douche bien chaude, avant de se rendre au banquet de Noël. Il n'y avait pas grand monde dans la Grande Salle, et pour la première fois, les élèves et les professeurs étaient assis à la même table. Dumbledore trônait en bout de table, bien évidemment. Pour son plus grand plaisir, Rogue fit signe à Iladys de venir s'asseoir à ses côtés, et elle s'exécuta donc. Elle fut suivi par Ron et les jumeaux, qui, eux, firent une légère moue. L'idée de passer le banquet près du professeur de potions ne les réjouissait guère. Pourtant, Ron s'assit face à Iladys, Fred, lui, se mit à côté d'elle, George face à lui. Le repas se passa dans un calme relatif, entre le succulent repas et les blagues de Dumbledore. Rogue couvait Iladys du regard, ce qui n'échappait à aucun des Weasley, et ils ne pouvaient s'empêcher d'en ressentir un profond écœurement. Iladys était à leurs yeux une petite chose fragile, toute mignonne, et Rogue était un immonde serpent aux cheveux gras. Aucun d'eux ne supportait l'idée qu'il la touche. Leur professeur devait ressentir à peu près la même chose. Avant tout, il avait remarqué qu'Iladys ne s'attachait plus les cheveux, et cela l'agaçait. Avant, il était une des rares personnes à pouvoir la voir ainsi, et maintenant, tout Poudlard en profitait. Et puis, il n'aimait pas ses fréquentations. Les Weasley lui paraissaient beaucoup trop idiots pour elle. Mais Iladys était loin de tout ça. La présence de Rogue et de Fred à ses côtés suffisait pour la combler, sans qu'elle n'imagine un seul instant l'animosité qui naissait entre eux et qui ne pourrait qu'augmenter avec le temps.



Le lendemain matin, Iladys fut réveillée par un léger vent sur son visage. Elle émergea doucement en se demandant d'où venait ce courant d'air. Lorsqu'elle ouvrit les yeux, ce fut le visage souriant de Fred qui s'afficha devant elle.

"Le Papa Noël est passé!", déclara t-il avant de disparaître de son champ de vision.

Iladys se mit sur son séant, et aperçut les trois rouquins, occupés à déballer leurs cadeaux. Elle vit les siens au pied de son lit. Elle ne savait pas qui les avait apportés, mais elle fut un peu gênée à l'idée que Dumbledore sache qu'elle avait partagé un dortoir avec ses trois amis masculins. Mais elle n'y pensa pas très longtemps. Elle se leva, et imita ses amis dans les déballages des cadeaux. Elle n'en avait jamais eu autant et ne savait pas très bien par quoi commencer. Voyant un gros paquet, elle s'en empara. Il révéla un gros carton, qu'elle ouvrit, toujours aussi intriguée. A l'intérieur, un tas de chocogrenouilles.

"De notre part.", affirma George dans un sourire, en indiquant son jumeau et lui.

"Merci, mais...Mais je ne vous ai rien offert.", répondit-elle confusément.

"C'est pas grave. C'est pas comme si c'était un super cadeau.", lui répondit Fred.

"Notre anniversaire c'est le 1er avril!", continua George avec un clin d'oeil.

Elle rougit, un peu honteuse. Elle ne pensait pas que les jumeaux lui offriraient quoique ce soit. Elle n'avait pas su quoi leur offrir, et puis, elle était trop gênée de leur faire un cadeau. Elle pensait qu'ils trouveraient ça bizarre, parce qu'ils n'étaient pas vraiment amis. Mais elle s'était trompée. Elle s'empara d’un autre paquet, et en sortit un pull en laine avec la lettre I dessus.

"Ça, c'est notre mère. On a tous eu le même.", déclara Ron en montrant son propre pull, où était inscrit un grand R.

Iladys écarquilla les yeux. Elle avait vu la mère de Ron quelques minutes, et cette dernière lui envoyait un cadeau. Pourquoi? N'ayant pas la moindre réponse, elle attrapa un troisième paquet, qui révéla un livre sur le Quidditch, offert par Ron. Hermione, elle, lui avait envoyé un roman moldu. Hagrid lui avait offert un bonnet et Mc Gonagall un peigne. Elle fut touchée par le cadeau de Rogue, toujours si attentif. Un flacon qui contenait une potion de son cru, accompagné de ce mot: "C'est une potion pour un sommeil sans cauchemar, ça t'aidera avant tes examens." Rogue la connaissait assez, et était suffisamment prévoyant pour savoir qu'Iladys serait sujette au stress, et que ce genre de potion serait donc forcément utile. Il ne restait plus qu'un paquet, celui de Dumbledore. Son dernier cadeau avait été Mio, qui avait bien grandi depuis, et dormait actuellement sur le lit, aucunement gênée par les bruissements de papier. Elle prit donc ce dernier paquet, se demandant ce qu'il avait pu trouver cette fois. Sa surprise fut grande. Une cape, une simple cape, qu'elle se voyait très mal porter à vrai dire. Un mot l'accompagnait, plus que mystérieux: "Je suis sûr que tu en feras bon usage." Elle s'enveloppa de la cape, et les trois têtes rousses se tournèrent vers elle, les yeux écarquillés.

"Une cape d'invisibilité!", hurla presque Ron.

"Comment ça...?", demanda Iladys.

Regardant son corps, elle s'aperçut qu'il avait disparu.

"Qui t'as offert ça?", demanda Fred.

"Dumbledore.

- Classe.", se contenta d'affirmer George.

"Euh...C'est...C'est...", commença Iladys.

"Génial!", finit Ron.

Face au regard incrédule d'Iladys, les jumeaux ricanèrent.

"C'est très rare, et très cher.", l'éclaira George.

Attrapant la cape de ses deux mains, Iladys la plaça devant elle, et la scruta quelques instants, puis regarda le mot de Dumbledore. En faire bon usage...Pourquoi lui offrir quelque chose de rare et de cher? Quel usage pourrait-elle en avoir? Elle avait bien une idée en vérité, mais elle n'était pas sûre que Dumbledore l'approuve...

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