1654 AÉ, 246 ième
Ma cabine sur le Maxilien Roska.
« C'est la toute dernière fois » m'avait-il dit. Je n'ai jamais oublié ces mots ; jamais cessé de les mettre en doute.
Puis-je réellement croire qu'il n'a pas cherché à contrôler mes actions par la suite ? Est-il seulement concevable que quelqu'un habitué à être écouté, suivi, n'ait jamais cédé à la tentation d'influencer un allié aussi récalcitrant que moi ? Question à jamais sans réponse, question sur laquelle il me faudra pourtant bien trancher un jour.
Coucou Rachael,
Quel charmant monsieur, ce Skelan ! Je pense qu’on ne va pas trop le regretter…<br />Tu te donnes de la peine pour décrire le décor dans lequel Sengo doit évoluer pour aller se poster sur son lieu d’embuscade, mais je n’arrive pas bien à à le visualiser. Qui va ramasser Skelan pendant qu’on emmène Sengo ?<br /> L’effacement de la mémoire de Sengo : encore une chose qui m’a échappé ou qui a passé par les trous de la passoire qui me sert de mémoire… (Je savais que c’était possible, mais je ne me souviens pas que ça ait été fait). Si le dialogue final du chapitre « Bulldozer » fait référence à un passage que j’ai déjà lu, je l’ai aussi oublié...
Je ne suis pas si convaincue que ce soit à Sengo seul de trancher sur la question du soupçon. Même si l’Autre a une très bonne maîtrise de lui-même, ça peut être intéressant de lui demander, histoire d’observer comment il réagit. S’il est capable de s’abstenir de lire les pensées de son adversaire dans les arts martiaux, il peut aussi le faire avec Sengo. J’imagine que les relations humaines doivent être moins intéressantes quand on sait tout ce qui se passe dans la tête des autres.
Coquilles et remarques :
au niveau des poutrelles du dôme coiffant la salle de débarquement [comme on se trouve à l’intérieur du bâtiment, on devrait dire « la coupole » plutôt que « le dôme » ; ça revient plusieurs fois dans ce chapitre]
les boyaux dédiés à la maintenance et l'inspection des structures [ici, l’emploi de « dédiés » est abusif ; je suggère : affectés, destinés, consacrés. Voir ici : http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?Al=2&T1=D%C3%A9di%C3%A9&id=3464]
Cette réaction des spectateurs, si tenue qu'elle est comme effacée [tenue ? N’est-ce pas plutôt retenue ou ténue?]
le commandant en chef connaît le commanditaire de cette mission alors que je l'ignore toujours [je trouve que « je l’ignore toujours » est bizarre ici ; je mettrais « alors que j'ignore toujours qui il est »]
effacement de sa mémoire : il devait rencontrer un spion sur Nigato (son contact ensuite sur Chuoo), pour lui expliquer la mission. Il a oublié cet épisode, comme il le dit lui même en arrivant sur Zone_Un. D'où le dialogue final du chapitre bulldozer, qui fait allusion à cela.
Merci pour les coquilles et le villain anglicisme.