Les serviteurs du Maharadja les avaient conduit jusqu'à leur quartier : une série de pièce spacieuse composé d'un salon, de plusieurs chambres et
salles de bain richement aménagé.
— On dirait un palais dans un palais ! Notre hôte doit être extrêmement aisé. remarqua Rosemary.
— Ce foutu Teach nous as menti ! vocifera Light, en jetant sa cape sur un fauteuil. Je vais contacter Gust.
— C'est vrai que c'est préoccupant. Si le Maharadja ne nous aide pas, cela va nous compliquer la tâche.
— On verra ça demain. S'il aurait voulu, il aurait pu nous renvoyer de son domaine pourtant il nous offre son hospitalité. Il semble compréhensif, rien n'est encore joué. déduit Light. Noor s'étira et poussa un grand baillement.
— J'en connais une qui est fatigué n'est ce pas ? taquina Strawberry, en posant son bras sur l'épaule de Noor. Tu sais c'est l'endroit idéal pour une bonne sieste. Quand j'étais petite j'ai toujours rêvé d'avoir une maison comme ça.
— Je ne vais pas le nier. dit-elle, en souriant. Un bon bain et un bon lit douillet ne nous feras pas de mal.
— Oui tu as raison. C'est un repos bien mérité. Profitons en ! On ne sait pas ce qui nous attend demain.
Chacun vaqua à ses occupations : Light décida de contacter Gust, Noor fila prendre une douche, Strawberry se prélassa sur un fauteuil et Rosemary prit un livre de la bibliothèque disposé dans le salon. Quand à Spectral il profita de l'occasion pour redonner à son masque son allure d'origine et se reposer.
Light préféra se mettre à l'écart dans une des chambres pour discuter dans le calme.
— Mon commandant ! s'exclama t-il, en lançant la conversation avec Gust.
— Te voilà enfin ! Vous êtes arrivé au domaine du Maharadja ?
— Oui nous y sommes mais il y'a un problème, mon commandant.
— Ça a un rapport avec Teach ? devina Gust.
— Comment...
— Light, écoute je sais que Teach a une certaine manière de faire. Après votre départ il m'a contacté, il m'a expliqué qu'il avait trafiqué des bracelets d'identités et qu'il ne vous l'avez pas dis car cela aurait sûrement perturber Noor. C'est regrettable mais c'était le seul moyen d'entrer dans la cité sans vous faire remarquer. Pour ce qui est du Maharadja il ne pouvait pas lui forcer la main mais il est convaincu que c'est le seul qui pourra vous aidez.
— Je vois. Mais mon commandant, pouvons nous réellement lui faire confiance.
— Je lui confierai ma vie sans hésiter. lui dit-il solennellement, balayant tout les doutes que Light pouvait avoir à l'esprit. Teach et moi avons mené de grande bataille au côtés d'Hazard, nous étions tout les deux les frères qu'il aurait aimé avoir par les liens du sang.
— Que voulez vous dire par lien du sang ? À cette question, Gust poussa un soupir.
— Je pense qu'il est temps que tu connaisse une importante vérité. Noor est en réalité la nièce de Stalker.
— Qu... quoi ? Cela veut dire qu'Hazard avait un frère ! s'exclama Light, choqué de cette annonce.
— Pas qu'un seul, il en n'a un deuxième qui n'est autre que Phantom ! Et tout les trois sont des frères jumeaux. Mais ils ne ce sont jamais aimé tant ils étaient différents.
— Je... je ne sais que dire.
— Je peux le comprendre. Mais sache que tu dois garder cette information pour toi. Ce n'est pas le bon moment pour que Noor l'apprenne.
— Entendu. Mais pourquoi Stalker en voudrait à sa propre nièce ?
— Je ne connais pas encore le but qui l'anime. Mais tu sais que dans le monde actuel les liens du sang n'ont plus la valeur d'autrefois. Tu n'a qu'à prendre l'exemple de Grim et toi. expliqua Gust.
— Vous avez raison.
— Pour parler d'un autre sujet, j'ai mené mes recherches et j'ai eu quelques informations concernant le Poltergeist.
— Vous parlez de ces types masqué que nous avons éliminés avec Strawberry ?
— Précisément. J'ai découvert leur véritable nature : ce sont des clones ! Cette unité dont ils font parti compte quatre membres.
— Donc nous aurons peut-être affaire au deux derniers clones restants. déduis Light.
— Exactement ! Stalker a donné une numérotation allemande à ses clones : il reste donc Ein et Zwei. Il est possible qu'ils aient eux aussi infiltré la cité.
— Je comprends et je resterai sur mes garde. Au faite est-ce que Sakhir est bien rentré ?
— Oui il nous est revenu sain et sauf malgré quelques blessures. Il a réussi à suffisamment endommagé le vaisseau ennemi pour les forcer à se replier.
— Sacré Sakhir ! s'exclama Light, soulagé.
— Je te le concède, il a fait un travail remarquable. Concernant cette unité des Abominables je n'ai rien trouvé. Je ne sais pas comment Stalker a pu mettre la main sur de tel individu, il est même possible qu'il les aient créé tant il est friand d'expérimentation.
— On est loin d'être sortie d'affaire.
— C'est vrai mais vous allez y arrivé, comme à chaque fois. l'encouragea Gust. Bien nous parlerons plus tard, tâche de te reposer. Gust terminé.
— À vos ordre, mon commandant. Light terminé.
La voix de Rosemary se fit entendre, elle l'appelait pour le dîner. Il alla au salon, la longue table à manger était dressé : des couverts et assiettes en argent pour chacun d'entre eux ainsi que de multiples plats, végétarien ou avec de la viande, des fruits et des salades ainsi que des desserts allant du gâteau à la crème au biscuit ou des dessert plus exotique comme du halwa.
— Je vous en prie, servez vous autant que vous le voulez. Nous reviendrons débarrassé la table une fois votre repas terminé et vos estomac rassasié. leur dit un servant, avec courtoisie.
— Whaou ! Je ne sais même pas par quoi commencer mais une chose est sûr : j'ai vraiment faim ! s'exclama Noor, heureuse.
— C'est clair ! s'écria Strawberry qui avait déjà commencé à remplir son assiette. Light et Spectral n'était pas à la traîne, ils avaient faim et la nourriture partait vite.
— Dis Spectral, ça ne doit pas être facile de manger le masque relevé ainsi. Tu peux l'enlever si tu veux ? suggéra Noor à l'attention du géant qui étonnamment, lui fit un pouce en l'air pour lui montrer que tout allait bien.
— Ça alors Noor, c'est très rare qu'il réponde à une solicitation hors des missions. lui indiqua Rosemary.
— Je n'ai pas demandé grand chose pourtant. dit Noor, étonné. Sinon, j'avais une question. Ce type, Bold, il a dit que j'etais une Hilelienne. Qu'est ce que ça veut dire ? demanda t-elle, un brin de curiosité dans le regard.
— Il parlait très certainement des gens du royaume d'Hilel. lui expliqua Light.
— Le royaume d'Hilel ? Jamais entendu parler. avoua Noor, la mine perdue.
— Hmm... Hilel est la nation qui a découvert le Badi au sein de leur terre. On dit que les Hilelienne sont des femmes sublime et au trait si particulier qu'on peut en reconnaître une rien quand les regardant. Tu es de là bas ? lui demanda Rosemary.
Noor était perplexe et après quelques instant à réfléchir elle donna une réponse.
— Non... enfin pour tout dire, je ne connais pas mes origines. révéla t-elle, gêné.
Elle ne sait vraiment rien, même à propos d'elle-même. pensa Light.
— Je vois, ce n'est pas grave Noor. Pour l'instant concentre toi sur ton assiette.
conseilla Rosemary avec douceur.
— Oui... tu as raison. Mais Rose... peux tu me dire ce qu'il est advenu d'Hilel ? insista tout de même Noor.
— Elle a été détruite. lui révéla t-elle. Hilel à voulu garder le Badi pour elle seule, et un jour quelqu'un a lancé une terrible guerre contre le royaume et redistribuer le Badi. On ne sait pas qui en est l'auteur mais voilà ce que dit la version officielle. conclut-elle.
— C'est... malheureux. dit Noor, peiné en reprenant son repas en silence.
Une fois le dîner terminé, les serviteurs vinrent débarrassé la table et annoncèrent aux groupe que le Maharadja discutera avec eux à partir de 11h00 et qu'un des servants viendra les chercher à cette occasion.
Il nous convoque, il va falloir être prudent. Cet homme est influent dans la cité et une aura de mystère l'entoure. Je vais devoir négocier.
Ils partirent tous se coucher. Light posa sa tête sur l'oreiller confortable et chaud. Il laissa chacun de ses muscles prendre un repos bien mérité. Cependant, cette nuit allait lui être de nouveau volait par les cauchemars. La dernière vision qu'il eu avant que ses yeux ne se ferment était celle de la lune visible à travers la fenêtre, belle et illuminant le ciel.
Le lendemain, ils étaient tous réveillé à part Noor qu'il fallut tirer de son lit de force. Ils prirent leur petit déjeuner et comme convenu un serviteur frappa à leur porte pour les conduire jusqu'à leur hôte. Ils arrivèrent devant une porte en bois massif surveillé par deux garde. Le serviteur s'annonça et ils laissèrent passer le groupe.
La salle qui s'offrait à leur yeux était grandiose : il y avait de grande fenêtre munis de rideau aux brodure orientale donnant sur le gigantesque jardin qu'ils avaient traversé la veille. Plusieurs rangés de bibliothèque, une collection de sabre encadré et des tissus brodé d'une mystérieuse armoirie représentant un croissant de lune entouré par des lances décoré les murs de la pièces.
Le Maharadja et Zarah étaient debout devant eux en leur souhaitant le bonjour. Il portait cette fois-ci une longue veste bordeaux et un pantalon de la même couleur.
— J'espère que vous avez pu trouver un sommeil paisible. Je vous en prie, prenez place. invita poliment le Maharadja en leur montrant les sièges disposé devant son bureau. Zarah, veux tu bien me préparer un bon café dont toi seul a le secret ?
— Avec grand plaisir, père. dit-elle en quittant la pièce. Ils prirent tous place sur un siège en ligne face au Maharadja assis derrière son bureau.
C'est maintenant que tout va se jouer. se dit Light, en gardant son sang froid.
— Vous êtes un groupe bien atypique. Il n'y a qu'à voir le géant qui vous accompagne pour comprendre que vous n'êtes pas de banal civil. dit-il, en faisant référence à Spectral. Mais je ne m'attendais pas à recevoir des mercenaires de la prestigieuse Redempt Armement dans mon domaine.
— On ne sait pas de quoi les lendemain sont fait. dit calmement Light.
— C'est bien vrai, seul Dieu connaît nos destinés.
— Vous croyez en Dieu ?
— J'ai mes croyances en effet. Mais ne parlons pas de moi mais plutôt de vous. insista t-il en reprenant les reines de la discussion.
Il ne se laissera pas avoir facilement.
— Que voulez vous savoir ?
— Je sais parfaitement que le Zindabad a les moyens de vous faire rentrer au pays. Mais une étrange raison vous empêche de faire ainsi, quelle est-elle ?
— Rien qui ne vous concerne je le crains. rétorqua Light, d'un ton moins amical en soutenant son regard. Le Maharadja leva son index qu'il remua de droite à gauche, montrant son désaccord.
— Et moi je crains que vous n'ayez pas beaucoup de choix. Je vous ai tous attentivement observer et la seule qui se démarque de votre groupe est cette jeune fille au yeux bleu et verts. lança t-il, en montrant Noor.
— M... Moi ? dit-elle surprise.
— Oui jeune fille. Je t'ai remarqué des que tu as franchis le pallier de mon palais. Ton visage me semble étrangement familier. Quel est ton nom ?
— Noor.
— Connais tu ton nom de famille ?
— Filistine. Je m'appelle Noor Filistine.
Le Maharadja eu alors une réaction inattendue, il se mit à pleurer en silence.
— C'est un miracle, un miracle d'Allah. Jamais je n'aurais pensé retrouver un membre de ma famille. déclara t-il, avec une joie contenue.
— De la même famille ? Que voulez vous dire ? intervint Light.
Le Maharadja retira quelque chose d'un tiroir et se dirigea vers Noor. Une fois proche d'elle, il le lui donna.
— Une photo ? dit Noor intrigué.
— Regarde la attentivement Noor et dit moi si tu reconnais la femme qui s'y trouve. lui demanda t-il. Elle l'examina et son regard se figea.
— Maman ! s'exclama t-elle, en pleurant avec intensité et serrant la photo contre son cœur.
— Oui ! C'est bien toi ! Tu es ma nièce, Noor Filistine. déclara t-il, ne pouvant cacher plus longtemps son émoi.
— Noor ! En est tu bien sûr ? questionna Rosemary méfiante.
— Oui Rose... j'en suis sûr, cette femme est bien ma mère. affirma Noor.
— Vous prétendez être son oncle ? Comment vous croire ! suspecta à son tour Strawberry.
— Je ne prétends rien, je suis son oncle, c'est un fait. Sur la photo : je suis au côté de ma sœur, de son mari Hazard, de Teach et votre commandant actuel Gust. Voyez par vous même. Elles regardèrent la photographie et l'évidence leur sauta au yeux : ils étaient tous là, plus jeune et debout devant une grande fontaine.
— Vous êtes un menteur. Ce ne sont pas des preuves suffisante pour vous croire. lança Light avec scepticisme.
— Non Light, c'est la vérité. J'en suis sûr, mon cœur me le dit.
Foutaise !
— Libre à vous de ne pas me croire mais c'est la pure vérité, vous n'aurez qu'à demandé à Gust. Donner lui mon véritable nom : Suleïman Filistine. En attendant nous devons discuter ma nièce et moi, veuillez nous laisser je vous prie.
— Il en est hors de question ! Noor est sous notre protection !
— Votre protection ? Ne me faite pas rire vous êtes tous des meurtriers ! Comment pourrait-elle être en sécurité avec vous !
Le ton montait dangereusement et c'est alors que Noor intervint.
— S'il vous plaît cessez cette dispute ! Mo... mon oncle, laisser les avec moi. C'est grâce à eux si je suis devant vous. défendit-elle.
Son visage s'adoucit et il se mit à sourire.
— J'ai l'impression de voir ta mère. dit-il avec amour. Bien, je respecte ta volonté Noor. Les esprits s'étaient apaisé et il reprirent tous leur place.
— Bien c'est à votre tour de parler et de nous donner des informations sur votre relation avec Noor et Hazard. dit Light.
— Je suis originaire d'Hilel, notre famille : les Filistine était l'une des familles les plus respecté et influente du royaume. Lorsque j'ai vu Noor, j'ai eu un doute, car tous les Filistine naissent avec des yeux bleus.
— C'était le cas mon oncle. affirma Noor. Mais à cause d'un accident quand j'étais encore une enfant, une de mes pupilles a changé de couleur. expliqua t-elle.
— Je comprends mieux. Concernant la photo, elle date de l'époque où Hazard et ses deux compagnons ont participés au sauvetage du royaume qui faisait face à une prise de pouvoir forcé de l'ancien Roi.
— Hazard a sauvé Hilel ? Je n'ai jamais entendu parler d'un tel évènement. dit Light.
— C'est normal. Hazard n'a jamais voulu qu'on le gratifie du sauvetage. La seule chose qu'il a demandé était la main de l'une de mes sœurs.
— L'une ? Vous en avez d'autre ? demanda Noor dont le regard brillait d'une vive lueur. Elle semblait heureuse de connaître ses origines.
— J'avais deux petites sœurs. l'une était ta mère Salma Filistine et l'autre ta tante Marwa Filistine.
Une douleur soudaine frappa Light tel un gigantesque coup de massue qu'on lui aurait donné sur la tête. Ce nom, il voulait l'oublier, ce nom d'outre-tombe qui était la source de ses cauchemars. Il se contenait tant bien que mal, submergé qu'il était par ce flot d'émotion et de souvenirs qui brisait son blocage psychique.
Marwa Filistine... ma Marwa. pensa t-il, profondément chagriné.
— Qu'est-il arrivé à ma tante ?
— Elle a été assassiner ici en Amérique et son lâche de mari ne s'est jamais montré ! Je n'ai appris cette triste nouvelle que par une lettre des services funéraire. La mort de ta mère m'avait déjà infligé une peine énorme et mon chagrin redoubla encore lorsque Marwa retourna à Allah.
— Je vois... dit-elle en partageant sa peine.
Light avait envie de crever son cœur tant ce dernier lui faisant mal. Sa respiration s'emballait et une terrible sensation de chaleur montait en lui, comme s'il était arrivé en enfer. Cependant il ne devait pas tomber ici.
— Mais comment Hilel en est venu à cette guerre civile ? demanda Rosemary.
— Hilel est une terre islamique. Une grande partie de la population est musulmane et notre communauté hatise bon nombre de regard malveillant. C'est un royaume où le roi est nommé uniquement par le peuple et l'armée est au service de ce dernier et garant de ses droits. Quand un roi ne va plus dans le sens du peuple, il est changé immédiatement avant que la situation ne dégénère et s'il ne veut pas, alors l'armé intervient et le chasse du trône.
— C'est une belle philosophie.
— Oui et cela a fonctionné durant plusieurs siècles. Parmi nos nombreux roi, seul un a été enivrer par le pouvoir et a précipité Hilel dans une guerre civile mais heureusement, Hazard est intervenu et avait formé une alliance avec le roi légitime pour que la volonté du peuple soit faite.
— Une bien belle histoire. Mais quand est-il de la destruction d'Hilel car elle ne voulait pas partager le Badi ?
— Ce ne sont que d'horribles mensonges, de la propagande contre Hilel ! s'insurgea t-il. Le royaume désiré seulement avoir du temps pour comprendre la nature de cette nouvelle énergie mais quelqu'un a jugé bon de nous détruire et répandre le Badi. Mon pays, mon peuple... tout nous a été voler lors de ce génocide. Sans le sacrifice de notre roi il ne resterai rien d'Hilel.
— Parce qu'il reste quelque chose la bas ? dit Rosemary stupéfaite.
— Oui, il nous reste notre capitale et en cette période de crise le sort du peuple est désormais sur les épaules de notre prince Amir, le fils du dernier roi.
— Vous êtes bien informé pour quelqu'un qui vie loin du royaume et en plus de cela dans une cité radieuse.
— Détrompez-vous ! Si mon corps est bien présent ici, ce n'est pas le cas de mon cœur qui bat pour ma nation. J'ai un but que je dois mener pour le bien d'Hilel et c'est pour cela que j'ai du vendre mon âme au diable pour arriver là où je suis. rumina t-il, en tapant son poing contre sa poitrine.
La discussion était riche en révélation mais Light n'écoutait plus vraiment. Sa tête tournait et bientôt il s'effondra sur le sol, évanoui.
Je me souviens. C'est moi... C'est moi qui l'ai tué.